Sasha Connelli [Pas Finit]

Formulaire

Sasha Connelli



I. Identitée

Nom: Connelli.
Prénom(s): Sasha.
Surnom(s): Tu veux vraiment lui en donner un?
Date & lieu de naissance: Sasha est né à Boston en Amérique du Nord le 4 juillet 1984, le jour de l'indépendance des États-Unis.
Âge : 24 ans

Nationalité & Origine : C'est ici que ça se corse un peu. Sasha n'a pas connu sa mère maternelle et a été nourris avec du lait artificiel jusqu'à être adopté, une semaine plus tard, par Jane et Robert, ses premiers parents mentionnés dans l'histoire. Ils ont déménagés à Istambul, puis Sasha a été adopté de nouveau, la raison est mentionnée dans son histoire et s'en est allé chez Diana et Georges, qui habitaient le Montana. Là, il a découvert l'équitation. Finalement, il a encore déménagé de parents et de pays, il est allé au Canada, en Alberta avec Fiona et Sebastian. Puis, il est arrivé au Royaume Uni, à Londres, à Greenwitch encore plus précisément, où il a terminé de grandir avec ses parents géniteurs, France et Marc, et son frère aîné, Jack.

Niveau : Quel est le niveau équestre de votre personnage ? Ses galops ? Il a passé ses niveaux au Canada, et donc, a son Instructeur, qui équivaut au dernier galop, mais il un niveau encore plus élevé.


II Préférence & Goûts

Livre Favoris: Il aime bien lire Break no Bones, un thriller de Kathy Reichs
Style musical écouté: Un peu de tout, bien qu'il préconise ce qui va le faire bouger, genre le vieux rock.
Chanson préférée: She Fucking Hates Me de Puddle of Mud
Film préféré: Il n'aime pas regarder les films, mais s'il faut vraiment en choisir un, alors Descent (La Descente en français), qui est un film d'horreur plutôt dégoûtant.
Ville & Pays préférés: Très voyageur, Sasha n'a jamais pourtant eu un pays fétiche, bien qu'il aimât le Maroc. Sa ville préférée est et restera de loin Boston.
Animal préféré: Contrairement à ce qu'on pourrait penser puisqu'il est professeur de Western, son animal favori n'est pas le cheval. C'est l'aigle. Car il est libre, fier et rare de vue.
Plat préféré: Juste un petit sauté de crevette arrosée de sauce au Bleu, minimum dix ans, sur un lit de pâtes linguinis à l'ail.
Saison favorite: Sasha n'a pas de saison préférée, lui, ce sont les entre-deux qui le fascine. Le respir qu'on prend pour se réveiller de l'hiver lorsque le printemps arrive et celui qu'on prends pour se rendormir à la fin de l'automne. De plus, le sourire qui s'affiche sur les lèvres quand l'été débute et que le printemps prends fin.
Couleur préférée: Le gris, car c'est une nuance du blanc, cette couleur si pure, si belle, qui représente la liberté et la paix, tout en étant une nuance du noir. Cette couleur qui représente la mort, le mal.

Passion* : Sasha a bien des goûts, bien des rêves, de projets, mais seulement une passion; celle des chevaux. C'est bien ce qui l'a aidé à tenir durant tout ce temps, les chevaux. Il a son type de cheval propre, celui avec lequel il s'entend le mieux sont ceux calmes et coopératifs. Il recherche chez un cheval l'endurance et la rapidité ainsi que la souplesse et la coordination afin d'avoir la meilleure monture qui soit. De plus, il aime particulièrement les chevaux isabelles et aubère.


III Psychologie

Caractère: Le caractère est chose propre à une personne, un animal ou n'importe quoi de vivant. Mais, par dessus tout, le caractère définit ce que fera celui qui le porte. Alors ici, attendez-vous à avoir un choc. Les actions sont des répercussions de ce que nous sommes, faites le bon choix pour montrer le bon aspect. Attention à ce que vous pourriez pensez. La différence fait état général dans ce cas-ci. La subtilité est maître mot dans les prochaines lignes. Et la colère qui fait vibrer les gens se mue en haine gratifiante, en amour volé, en âme perdue et esseulée.
Vous y êtes. Vous venez d’entrer dans sa tête. Maintenant, plus moyen de sauter par-dessus. Alors, accrochez-vous et tenez-vous. Tomber c’est se jeter sans la gueule du loup. Attention à vous. De nature calme et douce, Sasha n’a pourtant jamais su exploité ce qui fait pourtant de lui tout son charme. D’enfant gentil et poli, il est passé d’un méfiant soumis aux griffes de la tentation, puis est tombé dans les dédales de la violence et de la méchanceté. Si bien que personne ne peut vraiment se vanter de le connaître comme il est pour vrai. Pourtant, propre à lui seul, il sait différencier ceux qu’il doit aider de ceux qu’il doit envoyer promener. Alors, pour décrire en quelques lignes son caractère, voici le seul adjectif qui conviendrait vraiment : Imprévisible. Le jour et la nuit son réunis dans ce corps. Le Démon et l’Ange se battent dans son intérieur. Quand la nuit et le Démon prennent le dessus, Sasha est ironique, sarcastique, méchant, agressif et méfiant. Ses yeux lancent des éclairs à quiconque le regarde trop intensément et ses poings se lèvent sans relâche pour frapper. De plus, il a une langue de vipère une fois le Démon en lui. Grossier et impoli, il ne se prive pas pour être égoïste et hypocrite. Colérique et belliqueux, il n’hésite pas à faire usage de la force et imposer son règne. Gare à celui qui se trouvera sur son passage quand la nuit tombe sur son cœur qui devient très vite de pierre. Toutefois, ne vous découragez pas, quand le jour s’associe à l’Ange pour redonder un peu son caractère, Sasha est bien différent. Gentil et attachant, il se montre compréhensif, amical et généreux. Animé d’une soudaine joie de vivre contagieuse, il a le sourire aux lèvres et la quiétude au cœur. Attentionné et minutieux, il ne se fait pas prier pour aider les gens dans le besoin et aime à faire plaisir. Ses paroles, sages et mesurées, atterrissent droit au cœur de ceux qui les reçoivent car elles ne portent ni jugements ni commentaires mais son joviales et encourageantes. Enfin, Sasha est calme et se montre ouvert quand le jour s’empare de son cœur immense. Par contre, vu qu’il ne peut pas toujours jouer avec l’Ange et le Démon, il y a un entre-deux, comme un temps d’arrêt. Lorsque les deux parties cessent de se faire la guerre dans ses émotions troublées, Sasha est solitaire et renfermé. Il profite de ces moments pour réfléchir à son passé qui lui arrache le cœur à chaque nouvelle image qui lui revient. Pourtant compréhensif et à l’écoute, Sasha sait mieux écouter que parler quand un problème survient autour de lui. Un peu sournoisement, il vous écoute et épie vos gestes pour, le moment venu, vous attaquer sans que vous puissiez vous défendre. Légèrement agressif et méfiant, Sasha a de la difficulté à s’ouvrir au gens, il préfère garder pour lui ce qu’il ressent, mais pas ce qu’il pense. Franc et juste, il sait se faire respecter et respecter les autres.

(C'est trop? )
Plus grand défaut : Son agressivité qu'il a parfois (souvent) du mal à contenir.
Plus grande qualité : Cela peut paraître contradictoire à son défaut le plus grands, mais sa plus grande qualité est sa tolérance. Le seuil de chose qu'il peut endurer est assez impressionant.
Peurs : Ses plus grandes peurs, celles qu'il redoute de révéler et d'Affronter, sont celles qui vont le tuer. Sasha a peur d'être percé à jour, peur d'être découvert. Il a peur qu'on perce la carapace qui englobe son coeur, celle qu'il s'est faite pour se protéger des gens autour de lui, même de ceux qui l'aiment. Sinon, il a aussi peur de l'échec. Il a peur que s'il échoue, il ne sera plus bon à rien. Sa plus grande peur reste toutefois d'avoir raté sa vie. Il a toujorus cette crainte qui le tenaille, celle qui lui murmure qu'il n'a rien fait de bien, celle qui fait qu'il est incertain quelques fois quant à la décision à prendre. Elle le ruine petit à petit bien qu'il est réussis, jusqu'à maintenant, à la contrôler pour la faire taire.[/b]
Désirs : Son désir le plus cher, ma foi, c'est de ne jamais avoir eu à vivre toutes ces épreuves passées. Bien qu'il vive du mieux qu'il puisse dans le présent, il a ce désir secret et profondément enfoui de pouvoir revenir ena rrière et refaire la vie qu'il s'est imaginée étant plus jeune. Sinon, son prochain désir serait sûrement de revoir son frère monter en concours avec lui, ils étaient une si bonne équipe au Pick-up Rider et à la course à relais.


IV Apparence

Allure générale: Quand on regarde quelqu’un, on le détaille vite, pour ne pas se faire remarquer, mais une fois près de cette personne, on peut mieux la voir, la détailler avec plus de précision. Alors ici, approchez, il mord mais il est en laisse et laissez-vous charmer par ses traits fins mais masculins, tirés et sérieux, conférant à son visage une structure forte et dure qui en fait reculer plus d’un. Son corps, élancé mais musclé, est légèrement bronzé. De multiples personnes de sexe féminin perdent leurs moyens devant lui. Pourtant, il n’en fait rien. Ses yeux, de couleurs différentes, sont un bon moyen de connaitre son humeur. Attention par contre, détrompez-vous : Humeur ne veut pas dire sentiment. Ne lier pas tout ensemble. Bref, habituellement, il a eu œil bleu et un œil noisette. Pourtant, sous un certain angle, ils peuvent paraître bleus ou verts avec une légère saturation vers le gris. Ou bien ils sont tous simplement noisette, mais encore une fois allégés avec un voile pâle. Des cicatrices ornent son corps si bien sculpté. Il a une longue balafre encore un peu rosée qui part de son omoplate droite et descend jusqu’au milieu de sa colonne vertébrale, vers la gauche. De plus, une cicatrice à l’arrière de son crâne rasé en effraie plus d’un, tout comme celle qu’il porte avec honte sur le ventre, celle qui lui a fait le plus mal reste encore par contre celle qui monte de son torse, à gauche, et qui se termine sur son épaule gauche. La ligature est encore fragile et il a quelques difficultés à soulever de lourdes charges, même si avec son entraînement et ses muscles ce n’est pas un réel problème.

Style vestimentaire: Aucun de tous ces styles ne convient à Sasha. Il est du genre «je m'habille avec ce que je trouve, point barre.». Il peut autant avoir un magnifique ensemble de complet avec la cravate, le veston, le pantalon, les mocassins et les bas assortis que le jeans qui pend sur son corps et le T-shirt troué et vieux. Habituellement, il revêt quelque chose de potable, plus souvent une paire de jeans qu'il porte sous le nombril et un T-shirt convenable avec ses baskets de tous les jours.

Manies: Des manies, des tics, ça, il en a beaucoup. Allons donc avec celles qui se remarquent rapidement; Il hausse toujorus les épaules avant de parler, comme si chaque fois qu'il disait quelque chose, c'était sans importance. De plus, il évite les contacts avec les yeux d'autrui. C'est pour cela qu'il porte à peu près tout le temps ―jour et nuit― des lunettes de soleil qu'il enlève pour mieux voir avant de les remettre à nouveau, pour les retirer encore et contineur ce manège. Quand il fait ça, c'est qu'il cherche à dévier son regard sur quelque chose d'autre.

V Biographie

L'histoire du personnage: [i]L'histoire est un souvenir. Le souvenir est chose du passé. Le passé est effroyable pour cet homme. Il n'est pas obligatoire de venir poser votre regard inquisiteur sur ces lignes, mais si vous tenez, tenez-y vous bien. Et fort.

Nous sommes en 1981, là où commença son histoire. Vous semblez sceptiques, alors laissez-moi vous guider. France Jamcken, 16 ans, est dans les bras de son amoureux, Rick Troned. Et ils s’ébattent, et ils s’aiment, et ils sont complètement exténués. Alors, doucement, on se rhabille dans la chambre du 1264 rue des Myrtilles, dans la ville de Boston, aux États-Unis. Rick est satisfait, il a réussit son pari avec ses copains. Demain, à l’école, il empocherait 50 $ pour avoir fait l’amour avec France. Il souriait déjà de son exploit. Puis, il embrassa sa petite amie et la laissa seule pour aller prendre une douche.

Deux jours plus tard, la porte s’ouvrait à la volée dans la chambre de Rick. C’était France, un petit truc blanc à la main. Inquiet, il lui demanda ce qui n’allait pas. Avec un tremblement dans la main, elle lui tendit son petit truc blanc. Il y avait une barre bleue dans la petite fenêtre. La voix chevrotante de larmes, elle dit :

« Je suis enceinte, Rick. »

Alors, immédiatement, tout s’enchaîna : La dispute, la séparation, la dépression, l’envie de tuer le bébé. Mais, au fil de tout ça, quelqu’un épiait la jeune adolescente au ventre bedonnant de mois en mois. Cette personne n’était nulle autre que Marc Connelli, amoureux de France depuis leur tendre enfance. Pourtant, il ne s’était jamais fait remarquer. À quoi bon, ils étaient voisins depuis bientôt 15 ans et jamais elle ne lui avait adressé la parole. Quoi que dans ces moments là, elle avait besoin de soutient.

C’est ainsi que France rencontra Marc. Ensemble, ils passèrent au travers et France décida de garder le bébé. Ensemble, ils décidèrent de garder le bébé avec eux. Marc avait un an de plus que France, comme Rick, et était à son écoute et très attentif à ses besoins. Ensemble, ils eurent leur premier enfant. Même s’il n’était pas son père biologique, Marc était heureux d’avoir un fils à aimer et à chérir. Et puis, il était aussi avec la femme de sa vie. Rick, furieux, voulut avoir des droits sur son fils, et il traîna France en justice, à 16 ans, pour qu’il puisse avoir son fils. Il était jaloux, très jaloux. En perdant le procès qu’il intenta contre France et Marc, on n’entendit plus parler de lui ou de son droit de voir son fils.

Marc et France étaient heureux, lui avait un petit boulot qui leur permettaient de vivre indépendamment dans leur appartement, elle terminait se études et passait le plus clair de son temps à s’occuper de son fils, Jack. Puis, un jour, en 1982, le 10 octobre, Marc et France apprennent ce qu’ils pensaient qui allaient être une bonne nouvelle. France est de nouveau enceinte. Elle est plus mûre et plus sage, elle sait aussi ce qu’implique un bébé. Elle st prête à l’assumer. Elle a 17 ans et Marc 18. Ils s’aiment plus que tout et ce bébé, c’est le fruit de leur amour. Malheureusement, après réflexions, ils ne peuvent se permettre d’Avoir un autre enfant. Ils sont déjà plutôt serrés avec Jack, qui a un an maintenant, et avoir un autre bébé serait s’enfoncer avec des dettes. À contrecœur, ils acceptent de le donner en adoption.

Neuf mois plus tard, le 12 juillet 1983, Sasha Connelli voit le jour dans un grand cri de mécontentement. On l’arracha à son petit nid douillet. La première chose qu’il voit, c’est un grand monstre avec un sourire trop blanc qui fait mal à ses petits yeux à peine entreouverts qui lui tapote le dos un peu trop fort. Finalement, il respire. Et un cri, un pleur, s’échappe de sa gorge. Il n’a même pas une heure que déjà, tout l’étage de l’hôpital a du entendre sa voix stridente. Ensuite, la deuxième chose qu’il voit, c’est le corridor de l’hôpital, dans une espèce de dôme, qu’on appelle incubateur. Il a faim, il veut manger. Et il cri pour s’exprimer, cri comme un démon. Dans la chambre, sa mère pleure toutes les larmes de son corps la perte de ce fils qu’elle a trouvé pourtant si beau et en santé.

C'est ici que commence son enfance.

Une semaine après sa naissance, un couple se penche sur l’enfant endormis. Il est si beau et attachant que, sans plus hésiter, ils demandent son adoption. Après les formalités, on déclare le bébé, jusqu’alors prénommé Unknow Baby, Francisco. Francisco Hunter, voici comment il s’appellera jusqu’à ses deux ans. On ramène ensuite Francisco à Istanbul, où il vit ses premières années avec ses parents adoptifs. Il fait ses premiers pas sur le sol carrelé de la somptueuse demeure, il donne son premier sourire à sa mère qui n’est pas la sienne et dit ses premiers mots à ses parents qui sont des imposteurs à son insu. Puis, un incendie criminel se déclare une nuit dans leur maison. Francisco, endormit dans sa chambre, se réveille en pleurant, la fumée lui pique els yeux et l’empêche de respirer. Ses cris réveillent ses parents qui s’empressent de venir lui porter secours.

Pourtant, dans un acte héroïque, son père mourût. Il voulut aller chercher sa mère, ses cendres plus précisément. Et, comme un mouton, sa mère le suivit. Elle voulait l’empêcher de retourner à l’intérieur, mais y pénétra elle aussi Tous deux trouvèrent la mort dans les flammes qui terminèrent de lécher la grande et richissime maison. Les pompiers trouvèrent le petit bébé frigorifié dans l’herbe mouillée de la nuit et le ramenèrent à la caserne. De là, ils appelèrent le service d’adoption. Un pompier, Gorges, qui cherche un enfant depuis trois ans pour lui et sa femme Diana, entend parler de ce petit garçon. Comme on ne connaît pas son prénom, il est de nouveau renommé. Cette fois, on lui dit qu’il s’appelle Gabriel.

Puis, Gorges terminant son service qui a duré pendant 30 ans, déménage dans sa maison de retraite avec sa femme et son nouveau fils, au Montana. Là-bas, Gabriel, qui y vit pendant cinq ans, découvre les joies du cheval. Gorges lui achète même un joli petit poney, Flying Accident, qui a une magnifique robe aubère. Au début, Gabriel a un peu peur de ce grand poney pour lui, mais, il apprend vite à le panser correctement. Même qu’il le monte, doucement et prudemment, en apprenant à connaître son poney en même temps que lui apprend à le connaître. Finalement, naît entre les deux amis un lien invisible mais bien présent. Hors, quand Flying Accident meure, deux ans après son arrivée et quatre ans après celle de Gabriel, ce dernier est désespéré. Il commence à devenir impoli, il répond à ses parents, il leur tient tête et ne les écoute plus. Au bout de leur peine, ils se déclarent trop vieux pour élever un petit monstre comme celui-ci. Donc, après avoir enduré pendant un an les caprices de Gabriel, ils le redonnent en adoption, avec un soulagement qu’ils ne tentent pas de cacher.

Pour la troisième fois, Gabriel est renommé Laurent. Il déménage à nouveau et de pays et de parents. Cette fois, il y restera pendant six ans. Âgé maintenant de 7 ans, Laurent recommence progressivement à accepter ses nouveaux parents, qui sont nettement plus strictes et autoritaires que l’autre couple. Mais, petit à petit, il apprend à les aimer et découvre qu’en faisant correctement du premier coup ce qu’on attend de lui, ses parents savent être gentils et un peu moins exigeants. Enfin, un an après son arrivée, Laurent, qui s’est par contre vite faite à la vie à l’écurie qu’avaient Fiona et Sébastian, reçoit en cadeau de Noël un beau hongre de 8 ans, Frozen Jump, qui s’avère être un excellent professeur quand le jeune garçon âgé de 8 ans commence véritablement l’équitation. Pas à pas, il progresse, ayant deux professeurs, ses parents, qui lui montrent ce qu’il doit savoir. Ayant quelques bases, il apprend rapidement les complexités de l’équitation. À peine un mois après ses débuts, il passe son premier cavalier, qu’il passe haut la main.

Pendant les six ans que Laurent habitât chez Fiona et Sébastian, il s’épanouit doucement, apprenant à faire confiance et à s’ouvrir au monde extérieur. Ils avaient déjà un fils biologique, Dennis, avec qui Laurent s’entendait très bien. Un jour, un jour de tempête, Laurent et Dennis voulaient aller jouer dehors, à cache-cache dans la forêt qui bordait les écuries, un peu plus loin de la maison. Au début, Fiona était réticente, il faisait mauvais et le vent soufflait fort. Puis, promettant de ne pas s’éloigner et de faire très attention et de bien se couvrir, les deux frères eurent l’autorisation d’y aller. Nous somme le 6 janvier 1996, c’est la dernière semaine de Laurent avec sa troisième paire de parents adoptifs.

Tout se passait très bien, ils se lançaient des balles de neiges en se cachant derrière les grands arbres de la forêt. Ils riaient et s’amusaient beaucoup. Puis, Sasha proposa d’aller voir plus loin dans la forêt, comme des explorateurs. Acceptant, Dennis ne pensait pas aux conséquences que cela apporta. En chemin, ils rencontrèrent un petit ourson bien mignon, qui tremblait de froid en appelant à qui mieux-mieux de l’aide. Surpris mais aussi intrigués, ils s’approchèrent du petit ourson. Naturellement, qui dit ourson dit aussi mère ourse. Comme de fait, cette dernière arriva, grondant furieusement, alors que les deux frères jouaient tranquillement avec le petit ourson pour le réchauffer. Le premier à être touché par les griffes de la mère enragée fût Laurent. La longue balafre dans son dos. Dennis, dépourvu, voulu aider son jeune frère et il lui cria de courir. Distrayant la mère en criant, il fût soudainement prit de peur lorsqu’elle se retourna. Laurent, qui courait en perdant énormément de sang, se retourna une fois. Il n’en fallut pas plus. En moins d’une minute, la mère ourse s’était jetée sur Dennis. Elle broyait ses os avec ses dents et le griffait. Sur le coup, Laurent vomit et crû qu’il allait y passer aussi, mais, au défend d’un dernier coup de pattes, elle s’en fût avec son bébé.

La clairière où il jouait était maintenant le spectacle de la neige tachée de sang, rouge et blanche à la fois, laissant des traînées rose plus pâle ou plus foncé. Avec ses dernières forces, Laurent rentra à la maison en courant pour aller chercher de l’aide. En arrivant sur le lieu du drame, Fiona et Sébastian vomirent aussi. Ils appelèrent l’ambulance mais celle-ci arriva trop tard. Complètement désespéré d’avoir perdu leur seul enfant, le couple renonça à la garde de Laurent. Ils le tenaient responsable de la mort de leur fils et Laurent se sentait aussi coupable. C’était lui qui avait proposé d’aller voir plus loin. C'était lui qui avait dit qu’ils ne risquaient rien en jouant avec le petit ourson. Il avait mentit et son frère en était mort.

Ici se termine son enfance. Il commence alors l’adolescence.

Laurent, qui avait été transporté à l’hôpital dès son arrivée à la maison, le dos ensanglanté, s’en était sortie avec la balafre qu’il porte main tenant avec honte et haine sur son dos. Il passa sa dernière semaine en Alberta à l’hôpital, où il ne recevait que la visite des infirmières et du docteur qui le soignait. Puis, on le prévint que quelqu’un allait venir le chercher. Un certain Marc Connelli. Laurent, alors âgé de 11 ans, il sortait à peine de son enfance pour entrer dans l’adolescence, se disait que c’était certainement encore un représentant du centre d’adoption où il finirait sa vie. Mais, en voyant cet homme le lendemain venir le voir, il eût un choc. Ses traits, ses yeux, il était son portrait en plus grands. Ça faisait onze ans, Marc avait prit de l’âge, il avait maintenant 29 ans. Lorsqu’il vit son fils pour la première fois de sa vie, onze ans trop tard pourtant, Marc se jeta à son chevet, les larmes coulant sur ses joues comme une rivière dans son lit. Il prit la main de son fils et l’embrassa plusieurs fois. Laurent, les larmes aux yeux lui aussi, avait compris de lui-même. Sa voix, rauque et sèche par la boule qui s’était formée dans sa gorge, murmura doucement :

« P… Pa… Papa? »

Marc lui répondit en hochant vivement la tête. Le père et le fils se serrèrent très fort dans leurs bras et pleurèrent ensemble durant longtemps.

Suite à cette première rencontre entre le père et le fils qui fut, ma foi, des plus émouvantes, Laurent, qui retrouva le nom qu’avaient choisis malgré eux ses vrais parents, soit Sasha, retourna auprès de France et Marc. Et il ne faut pas non plus oublier avec son véritable frère, Jack. Ce dernier avec qui il fit les quatre cent coups, histoire de tester un peu ses limites et de voir comment il pourrait s’en sortir.

Ici clos son adolescence et débute sa vie d'adulte.

De retour à Boston où Jack était né, Sasha vécu les plus belles années de sa vie jusqu’à l’âge de vingt ans, donc neuf ans plus tard, où sa magnifique jument isabelle, une Pur Sang Arabe des plus gentilles et affectueuse, connut une mort tragique. Ils étaient en route pour un concours de Western, incluant des épreuves de Barrels Race, Pole Race, Reining, Pick-up Riders et Relais, Sasha conduisant le van tout en parlant à son frère aîné. Leurs deux chevaux, Express Summer Music, l’hongre de Jack, et Ever Writting Summer, la sœur d’Express, la jument de Sasha, étaient bien installés à l’arrière, mangeant leur foin. Puis, tout en conduisant, Sasha, énervé comme une puce à l’idée de faire pour la première fois le Championnat de Western des États-Unis, était légèrement déconcentré et en voulant changer de voie sur la I-40, un camion avec des troncs d’arbre sur sa plate-forme le dépassa. Sasha perdit le contrôle de son véhicule et fit une embardée dans le garde-fou. Mais, comme si ce n’était pas assez, la semi-remorque aussi vint s’enfoncer dans le fossé de bord de route. Il s’écrasa contre le van équin, ne laissant aucune chance de survie aux deux équidés qu’on entendit hennir de terreur quand les billots de bois énormes s’abattirent sur eux. Sasha, sonné, voulu sortir du véhicule meurtrier, mais sa ceinture de sécurité était bloquée. Pris au piège, il tenta de s’en sortir avant que la cabine de la semi-remorque ne leur tombe dessus à son tour. Jack, lui, avait réussi à sauter hors du véhicule. Du côté conducteur, il tira de toutes ses forces, et Dieu sait qu’il en avait, pour ouvrir la portière. Celle-ci céda finalement à force de coups de pieds rageurs. Avec rapidité et agilité, Jack fit sortir son frère et l’envoya valser dans les herbes hautes à côté. Juste à temps car la cabine s’abattit sur leur camion, provoquant une explosion terrible. S’en sortant avec cinq côtes cassées, un poignet zigouillé et une légère commotion cérébrale, Jack eu beaucoup de chance. Son frère, lui, eu droit à un déchirement de l’épaule, une fracture du bassin et un mal de tête pendant une semaine. Les deux jeunes hommes passèrent un mois entier à l’hôpital. Malgré tout, ils trouvaient le moyen de rire et de vivre. Lorsqu’ils sortirent de l’hôpital, Sasha et Jack avaient changés. Ils étaient maintenant plus proches qu’aucuns frères ne pouvaient l’être. Ils avaient frôlé la mort ensemble et s’en étaient sortit ensemble. Le lien qu’ils avaient tissé était indestructible.

Les années passèrent, Sasha, à défaut d’avoir encore Ever, prit en charge une autre jument, Easy Crash, une Arabe encore. Au contraire de son frère qui ne voulait plus faire de concours à cause de la perte de son hongre, Sasha remporta la victoire en Reining et en Pole Race avec Easy Crash aux Championnats auxquels il devait participer avec Ever, deux ans après l’accident.
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VI Autres

Nom de la personne choisie en avatar: Wentworth Miller.
Comment avez vous connu le forum :Saaandraaa!
Evalué votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10 : 9/1O (Je pourrais bien mettre 10, mais les 50 lignes, c'est seulement en cas de super inspi'^^)
Connexion sur le forum: 7/7jrs Si je suis pas collée ou punie.
Fille ou garçon : Moi? Fille (Quoique...)
Libre à vous.. Bouh? Ah! J'aime ce smiley : Sinon, bah, euh, nan^^
Ooh! Si: Sandra, c'est pas trop long comme présentation?

VII Exemple de Message
Bon, bon, j'avais pas prévu ça alors je vais faire de mon mieux.
Sasha courrait sur la route, en sueur, pour essayer de rattraper l'autobus qui devait le mener du quai de la ville l'aéroport d'où il devait prendre l'avion pour se rendre sur l'île où il enseignerait le Western Trop tard. Raté, le petit bu-bus qui allait gentiment le porter jusqu'à l'aéroport. Grrrr. Le jeune homme s'arrêta, ses bagages étant assez lourd à traîner, et s'appuya un instant sur ses genoux pour maudire le bus. Il se releva après quelques minutes et sourit. Mais pas un gentil sourire content. Un mauvais sourire narquois et sadique. Puis, ses lèvres retrouvèrent leur forme normale et il se remit en marche. Normalement, il avait une heure de bus à faire. Moyennant une vitesse de 50 kilomètres à l'heure, si lui marchait et courait pour atteindre au minimum 10 kilomètres à l'heure, il pourrait arriver à l'aéroport avant la nuit, et pourrait peut-être prendre le prochain vol sans escale pour l'île. Immédiatement, le jeune homme se reprit et se mit à courir.

Rapidement toutefois, son T-shirt fut tout mouillé, et pour ne pas se mettre à fondre, il décida de le retirer. Il courrait depuis bientôt trois heures et le soleil lui tapait dans le dos, n'améliorant pas son sort. Le crâne ruisselant d'une couche de sueur, Sasha s'arrêta et ouvrit son sac à dos. En sortant une gourde, il avala plusieurs gorgées d'eau avant de la ranger et de se remettre à courir, torse nu, voyant finalement le bout de la route car devant lui se dressait l'aéroport qui l'attendait. Une heure plus tard, le jeune homme entrait dans l'impressionnant bâtiment. Mais avant, il s'était essuyé un peu le crâne et avait remis un T-shirt, pas le même. En entrant, la vague de fraîcheur de l'air climatisé lui arracha un sourire satisfait. Puis, le jeune homme prit le temps de regarder où il se trouvait.

Un grand comptoir, comme pour une secrétaire, imposait le respect. Il y en avait trois pareils, des chaises recouvertes de tissus pour attendre. Le jeune homme se dirigea vers l'un des comptoirs en traînant ses bagages derrière lui

< Bonjour. Heu, je voudrais savoir s'il y a un autre vol pour, hum, il chercha dans la poche de son jeans pour retrouver le papier où le nom de l'île où il devait aller était inscrit, Freedom Creek. >

Comme la jeune femme ne répondait pas, le jeune homme se racla de nouveau la gorge et répéta, le ton un peu plus ferme et impatient;

< Excusez-moi, mademoiselle, pourriez-vous me dire s'il y a un autre vol pour Freedom Creek? >

Encore une fois, elle ne daigna pas relever les yeux de son écran d'ordinateur, lui faisant signe d'un doigt d'attendre. Le jeune homme faillit perdre patience, mais il prit une grande inspiration et se murmura qu'elle était peut-être sourde. Il frappa alors son poing fermé sur le comptoir et cette fois-ci, la jeune femme fit un petit saut en retirant de ses oreilles des écouteurs de téléphone. Sasha lui fit un sourire forcé et peu convaincant et répéta sa question. La jeune femme hocha la tête et se remit à taper sur son clavier. Puis, elle lui répondit d'un ton chaleureux mais très genre «plastique»;

< Il y a un vol pour Freedom Creek dans deux heures, mais je crois qu'il est complet. >

Sasha roula alors des yeux exaspérés. Il argumenta avec la standardiste pendant un bon vingt minutes, puis finalement il réussi à avoir une place sur ce vol. Peut-être arriverait-il avant la nuit à FC? Espérons-le! Bref, deux heures plus tard, le jeune homme tendait son billet au contrôleur et entrait dans le corridor qui menait jusqu'à l'avion. Une fois à l'intérieur, il posa son bagage à main dans le compartiment et se laissa choir avec soulagement dans son siège près du hublot. Il soupira lentement et ferma les yeux. Le jeune homme s'endormit presque aussitôt. Il sentit à peine les secousses du décollage. Pendant qu'il était assoupi, Sasha rêva de ce qu'il aurait pu gagner avec Summer. Il sursauta alors un peu brusquement en sentant l’avion planer vers le bas. Il se redressa dans son siège et s'étira. Sasha frotta son visage tirés des deux mains et attacha sa ceinture en voyant le faisceau lumineux allumé.

Après quelques heures, le jeune homme posa un pied en dehors du taxi. Il s'étira en levant les bras au ciel et grogna tout bas de soulagement. Puis, il alla prendre ses bagages dans le coffre arrière, paya le chauffeur et le regarda s'éloigner sur la route cahoteuse. Finalement, il se retourna vers l'Académie qui s'offrait devant lui et releva ses lunettes de sur son nez, un léger sourire glorieux accroché sur les lèvres. Sasha se mit en route, marchant d'un pas lourd de fatigue et en même temps léger de soulagement. Après quelques minutes, il fût rendu devant la porte imposante. Il la poussa lentement et traîna ses valises ^à l'intérieur. Une jeune femme se tenait près d'un autre grand comptoir. Sasha assuma que c'était la directrice. On lui avait dit qu'elle l’attendrait dans le Hall. Le jeune homme lui fit un petit sourire et se dirigea vers elle en laissant ses choses à un portier, quelque peu surpris. Il ne voulait pas vraiment faire porter toutes ses valises à ce jeune employé, mais ce dernier insista.

< Bonjour, je suis Sasha Connelli, professeur de Western. >

La jeune femme daigna prendre sa main et la serrer calmement. Elle croisa ensuite les bras sur sa poitrine et lui envoya un sourire poli avant de dire, sa voix étant claire et sympathique;

< Bonjour, M. Connelli, je suis la directrice Alysson Willefert, bienvenue sur Freedom Creek. Vous avez fait bon voyage? >

Elle fit un petit signe à quelqu'un qui porta les bagages de Sasha hors de sa vue, le jeune homme, peu habitué à tant de luxe soudainement, voulut protester mais Alysson lui fit signe de les laisser faire. Alors Sasha n'eût d'autre choix que de reporter son regard mélangé sur la jeune femme devant lui, ses lunettes posées sur le dessus de son crâne. Puis, il haussa les épaules et répondit simplement à sa question;

< Non, pas vraiment. Ça fait du bien d'être arrivé. >

La directrice hocha simplement la tête et le conduisit ensuite vers son dortoir, sans autres formes de procès. Elle le dirigea à travers les couloirs du l'Académie, lui montrant les différents endroits où il pourrait avoir des ressources s'il avait besoin de quoi que ce soit. Finalement, elle le laissa seul dans sa chambre. Sasha découvrit avec surprise que ses bagages étaient déjà arrivés. Un léger sourire éclaira son visage tandis qu'il se laissait choir sur son lit en soupirant. Enfin, il était arrivé!

Non ce n'est pas trop long c'est très bien , Freedom Creek est un forum de bon rpgiste tu trouvera plein de membre à la hauteur pour écrire avec toi .
Bienvenue ma puce!





Bonjeu parmis nous!