Approche...

Le soleil était haut dans le ciel. Il fesait chaud en ce midi de début de fin d'hiver. Cela était peut être dù au fait qu'il n'y avait presque aucun végétal, presque aucune goutte d'eau, ni aucun vent frais ? Bref, ce lieu, dénommé Dangerous Cliff portait déjà bien son nom à première vut. La territoire était aride et completement déserté de tout être vivant. Lors de son arrivé, Dark Eyes n'avait encore croisé aucun équidé, mis appart ceux qui étaient chevauchés par les humains qu'il avait rencontré de nuit.
Le ciel était d'un bleu claire très agréable, sans aucun nuage blanc, laissant ainsi pénétrer ( malheureusement ) tous les rayons du soleil qui venaient chauffer sa robe d'un noir ténébreux. L'équidé avançait, dans un trot tout d'abord cadencé. Son souffle était calme, ne laissant percevoir aucun signe de fatique, mais déjà, sa robe commençait à s'immaculer d'un très léger liquide visqueux, entre autre, de la sueur. Dark Eyes commençait à avoir soif. Il ne s'était pas abreuvé depuis déjà longtemps et cela assécher non seulement sa bouche, mais sa gorge devenait elle aussi, aussi sèche que le désert lui même. L'étalon noir avait déjà parcourut de bons kilomètres pour arriver ici. Au début, il pensait trouvait quelque chose de plus accueillant lors de son arrivée, mais comme on dit : on ne peut pas changer le passer... c'était dommage, s'il aurait sù, il aurait changer de direction.

Dark Eyes ralentit l'allure pour prendre un pas tout de même tonique. Son visage, pour le moment, ne laissait paraître aucun sentiment. Ni bonheur de venir ici, ni tristesse de ne voir personne. Après tout, il appréciait être de temps en temps seul au lieu de voir des chevaux naïfs qui se plaignent à chaque fois que quelque chose ne va pas. Son regard braisé passa sur les alentours. Voilà ce que montrait ce paysage : cailloux, crevasse, falaise, sable, sécheresse, beige..parfois marron. Presque aucune ombre, pas d'eau, pas de vert de végétal, pas de blanc, de noir, de marron, de beige, de baie..ou autre qui aurait pu être la robe d'un cheval.

Voyant tout déserté, Dark Eyes soupira ennuyé, et dans un petit sursaut, reprit le trot, puis un petit galop de chasse, qui allait plus vite, mais était moin épuisant.

C'était par un matin d'automne dans une vaste prairie.Les feuilles mortes finissaient pas tombées des arbres par un simple coup de vent.Le ciel était sombre et gris.Une légère odeur d'humidité flottait dans l'air plutôt frais.Les petit animaux comme les lapins,qui restait tappient bien au chaud dans leur terrier.Comme les pinçons,rossignoles et autres oiseaux qui restait dans leurs nid composé de brindilles.Tout se passait bien,comme chaques matin.Mais une chose in-habituelle se produisie.L'arrivée d'une jument.D'une jument aussi blanche que la neige.Ses trais étaient fins,à première vue celle-ci n'était que douceur et bonté.Mais en vérité cette beautée claire n'était que arrogance.Derrière ses petits airs d'ange se cachait la pire des juments.Celle qui vous méprisait au premier regard.Son air que vous pouvez distinguez en la regardant qui voudrait dire qu'elle vous soit en tout point supérieur.Et bien cette peste dirons-nous marchait d'un pas lourd et lent.Gardant pourtant une élégant et une grâce sans limite.Un sourire narquois était toujours dessiné sur ses fines lèvres.Sa longue crinière blanche aux reflets quelques peu argentée se laissait porté par le vent.Son toupet fin et soyeux descendait le long de son chafrein.Laissant entrevoir son regard pour le moin d'une grande arrogance et en tout point niais.

Mais peut-être que cette jument avait seulement besoin d'amour?Qui pourrait savoir ce qu'elle ressent au plus profond d'elle.Certains disaient après l'avoir connuent que son coeur n'était que de glace ou de pierre.Mais peut-être que si quelqu'un en trouvait la clef les humeurs de la jument blanche changerait.Peut-être que même sa vie changerait?Mais qui pourrait en dire,seul le temps pourra en décidé.Le temps qu'on ne peut toucher,qu'on ne peut sentir,qu'on ne peut entendre,qu'on ne peut aimer.Ce temps qui traverse la force et l'âge sans vieillir,ni rajeunir.

Toute fois cette jument avait besoin de compagnie.Bien quelle re-sace ses pensées,la belle équidés savait ce qu'elle allait maintenant faire pour obtenir de l'aide.Alors regardant le ciel gris qui laissant maintenant le soleil s'immisé entres-lles nuages.Mystic Charm son sourire narquois toujours dessiné sur ses lèvres,elle marcha vers un arbre.Celui-ci avait perdu toutes ses feuilles,c'était vraiment dômmage.L'effet en serait moint parfait.Mais il fallait s'en contenter.Alors,se présentant sous ce grand arbre qui semblait-être un saule pleureur.La jument secoua sa crinière pour l'en rendre que plus soyeuse comme le reste de ses crins.Après quelques attentes,un doux rayon doré vint traverser les branches pour illuminer la jument.Et quelques autres rayons lumineux vinrent aussi l'éclairer.Sa robe brillait de milles éclats face aux rayons du soleil.Puis quelques minutes furent déjà passées qu'une ombre se dessinait déjà à l'horizon.Son plan avait marché.Il fallait juste que maintenant l'inconnu se rapproche d'elle.Mais il avait l'air bien distant et froid.Alors partant vers lui le regardant de ses yeux arrogants.Elle dit de sa voie niaise:

-Salut t'es qui?

Dark Eyes s'arrêta et huma l'air chaud tranquillement. Cet endroit était comme...comme un ressentis, quelque chose de vécut où tant de choses s'étaient produites. Discordes, batailles, bref, tout était là. L'ancien, le vivant. Dark Eyes eut un sourrir hautain, sachant que dans ce passé, il n'y était pas inconnut. Mais, cet aspect vivace et agréable qu'avait l'étalon à son image, disparut bien vite, quand dans cette ' senteur ' d'évenements apparut l'odeur d'une jument non loin de lui. Ses oreilles se plaquèrent violement dans un ton froid et peu touché par cet venue innatendue, qui venait perturber son repos. Mais qui était cette équidée pour oser troubler le calme du lieu, en la présence du maître !? A cette pensée son regard se noircit comme une sorte d'avertissement et l'étalon noir fit volte face brusquement, montrant bien à l'intruse que son arrivée était déplaisante.
Dark Eyes eut le temps de l'examiner rapidement de haut en bas, et son regard arrogant qui se posait sur lui ne lui échappa pas. Décidément elle se croyait tout permis, il n'allait pas y avoir d'autres avertissements. Déjà, l'envie de la faire déguerpire le démangé dans une furie de gloire et de fiertée. Puis quand sa voix de fille retentit, il sourit hautaine. Pathéthique. D'une niaiserie sans paraille. Dark Eyes se retint de rire moquesement, puis finalement, il décida de répondre à sa question, mais dans son style à lui :

Il ' cracha ' ses mots ( expression ) dans une violence plutôt vexante envers la jument. Son encolure était haute, sa queue panachée, ses oreilles plaquées, son regard assombris mais pas à son plus haut point. L'étalon au caractère aussi noire que sa robe la regarda de haut, n'étant même pas interréssé par l'identitée de celle qui venait presque d'insulter. De toute manière, à moin qu'elle ne s'en aille, la jument ne risquait rien. Dark Eyes n'était vraiment pas d'humeur à laisser passer des sotises, et ce n'était pas non plus le moment pour la jument de laisser passer ses niaiserises qui semblaient pathétique à l'insue de l'étalon. Enfin bref, les présentations se feront dans un style plutôt froid et arrogant, mais qu'importe, de toute manière, Dark avait bien ressentis une sorte de faiblesse en cette jument, et il n'était pas décidé à la laisser prendre ses aises en sa présence, qui à la faire déguerpire au plus vite, de grès ou de force. Quel honte à elle, de venir demander l'identitée d'une légende !?

Le ciel était toujours aussi gris, et au loin l'on pouvait remarquer que quelques orages tonnaient encore de leur rage époustoufflantes. Il commençait à faire un brin de vent frais, mais le soleil trônait encore et chauffait encore cet environnement désert et hostile où se trouvait les deux chevaux. Le vent s'élevait et s'étouffait irrégulièrement, laissant balancer les crins de la queue et de la crinière de l'étalon noire, comme s'ils virvoletaient de leur aisance superficielle. La musculature de l'étalon était déjà voyante de loin, de près on aurait put croire à un gladiateur, enfin, façon de parler bien évidemenent. Bref, en résumer, c'était un vrai équidé de combat, qui ne se laisse pas marcher sur les sabots, au caractère froid et distant, arrogant et méchant, loin d'être un tendre mais totalement protecteur et possessif de ses biens, auquel on n'attribue pas une telle impolitesse.