Faith McLoryn [F] [Finiit!]

Formulaire

Le Nom du Personnage





I. Identitée

Nom: McLoryn.
Prénom(s): Faith.
Surnom(s): Faith, c'est pas assez court?
Date & lieu de naissance: Faith est née en 1998, dans l'état de l'Illinois, Chicago, aux États-Unis. Le 29 février, ses yeux bleus s'ouvraient pour la première fois.
Âge : 18 ans

Nationalité & Origine : Faith a un père italien immigré depuis bientôt 50 ans en Amérique du Nord, il a sa nationalité américaine et sa mère est une européenne de souche. Ses origines ne sont pas très développée, mais cela ne lui enlève pas son charme. Elle est de nationalité américaine puisqu'elle est née aux États-Unis.
Niveau : Bien qu'elle s'intéresse vraimetn aux chevaux, Faith n'a pas eu l'occasion de mettre en oeuvre ses talents à la monte, elle n'en a pas fait beaucoup mais est une passionée. Elle ne possède que le premier et le deuxième galop.


II Préférence & Goûts

Livre Favoris: Faith aime surtout lire des romans à l'eau de rose, mais aussi ceux qui parlent des animaux en particulier, son livre favoris est une vraie brique, un vieu roman qu'ils ont tournés en film : Il danse avec les loups.
Style musical écouté: Malheureusement pour vous, Faith n'est pas au top de la musique d'aujourd'hui, elle a des goûts disons plus... sophisitiqués? Bethoveen, Mozart, Bach, et ainsi de suite, que de grands musiciens.
Chanson préférée: Ce n'est pas une chanson, mais c'est la 9e symphonie de Bach en ré mineur, ce son si mélodieux et doux coule à travers les hauts-parleurs et la faire rêver.
Film préféré: Docteur Jivago, un film en noir et blanc des années 70-80, très mauvias au niveau du tournage mais tellement passioné et vrai que Faith n'en est que tombée amoureuse.
Ville & Pays préférés: Sa ville préférée est Sienne, en Italie mais son pays préférés est la Russie, elle parle d'ailleur très bien le russe et l'italien.
Animal préféré: Le cheval, sans aucun doute, est son animal préféré. Autant pour sa grâce naturelle que pour son calme et son attitude paisible que sa fougue dangereuse et son intelligence immanquable.
Plat préféré: Faith vient d'une famille assez aisée, elle n'a appris qu'à anger des palts somptueux. Son préfér reste tout de même la crêpe bretonne avec coulis de chicorée sur un lit de chocolat nappé de caramel, tout ce qu'il ya de plus sucré mais aussi de meilleur.
Saison favorite: Peu lui importe, en autant qu'il puisse pleuvoir assez souvent qu'elle s'échappe et profite de ces goutelettes docues et fines qui martèlent ses vêtements et font onduler ses cheveux longs.
Couleur préférée: Le gris turquoise, car c'est la couleur que la pluie reflète durant ses nuits d'escapade trempée.

Passion* : C'est une passion commune, qu'elle partage avec son père. Celle de découvrir de nouveaux horizons, dans son cas, les horizons ne sont pas partagés par son père, car elle veut apprendre à monter, mais lui n'est pas d'accord avec l'idée qu'une femme puisse faire du cheval. Bref, elle a réussit à cacher pendant un bout cette passion, mais elle n'a pas réussit à le faire pour venir ici, et ce n'est qu'après bien des discussions que son père a accepté qu'elle vienne, pour assouvir cette passion qu'elle lui avait cachée ; celle des chevaux.


III Psychologie

Caractère: Au premier abord, il faut pouvoir admettre ses torts et ses faiblesses si l’on veut pouvoir dire que l’on est fort et courageux. L’orgueil est un péché à l’église. Mais pas la faiblesse. Et il faut savoir qu’avant d’être brave au combat, les soldats avaient peur. Mais, n’est-ce pas la peur qui fait le courage? Car un héros qui n’a jamais peur ne peut être courageux. Le courage se définit comme présent lorsqu’on se dépasse dans une situation différente et qu’on surpasse sa peur pour y faire face. Alors je dirai juste que si l’ont peut qualifier quelqu’un de brave, on peut aussi le qualifier de peureux.

C’est ainsi que l’ont peut décrire Faith en deux mots. Faible et forte à la fois. Courageuse et peureuse en même temps. Deux faces dans un même corps qui forment ce qu’elle est vraiment. Quand il le faut, elle sait s’arrêter. Pourtant, il faut parfois l’y aider. Téméraire et aventurière, Faith aime relever des défis, du plus stupide au plus dangereux, nombre de personne ont jurés que c’est ce qui causerait sa mort. Mais elle n’est pas d’accord. Autrement, elle est aussi gentille et attentionnée envers les autres. Elle a surtout une fâcheuse tendance à ne voir que le bien dans ceux qu’elle rencontre, ce qui peut la rendre naïve quelque fois. Déterminée voir obstinée, Faith termine ce qu’elle entreprend avec le plus grand soin. Perfectionniste, minutieuse, soignée et méticuleuse, elle fera en sorte que son travail soit au meilleur de son rendement avant de l’accepter. Elle refuse souvent des résultats qui sont pourtant bien plus que très bons. Curieuse et attentive, elle aime apprendre de nouvelles choses et adore aussi faire de nouvelles rencontres afin d’accentuer son intelligence déjà bien entretenue et fleurie. Faith est une jeune femme que l’on peut aussi dire de violente et impétueuse.

Tels les chevaux que son père dresse, elle est fougueuse et sauvage. Parfois aussi dure et ferme que le roc, elle peut être tout autant déchaînée et hors de contrôle que l’eau d’une rivière dans un orage que douce et soucieuse d’autrui qu’un père le serait avec ses enfants. Parlant d’enfants, elle n’a jamais vraiment grandit mentalement. Insouciante et joviale, elle ne réalise pas toujours l’ampleur d'une situation et aura plutôt tendance à la minimiser pour réduire ses inquiétudes et ses peurs. Quand il le faut, par contre, elle sera toujours là pour ceux à qui elle fait confiance. Confiance qui, d’ailleurs, est facile à obtenir mais aussi facile à perdre. Comme elle a tendance à se sous-estimer, cela fait d'elle une jeune femme instable, qui a une estime de soi très pauvre, quoi qu’elle s’efforce de garder ce qu’il en reste intact. Ce n’est pas vraiment aisé comme tâche, c’est donc pour cela qu’elle se rabat sur le silence. Elle n’ouvre pratiquement jamais la bouche. Et encore, seulement lorsque ses paroles sont vraiment requises. Et elle prend bien son temps pour réfléchir avant de parler.

Faith est une fille compliquée, comme les milles et unes facettes d’un miroir que l’on a violement projeté au sol. Elle est dans chacun des petits morceaux de verre en sable brisés, craqués, prêts à se fendre mais en même temps forts et prêts à se reconstruire n’importe quand. Voyons maintenant le plus gros morceau de ce miroir brisé qu’est Faith McLoryn. Le premier, c’est sa capacité à tout absorber. Comme une éponge, elle encaisse chaque coup, chaque insulte sans broncher. Mais gare à vous si vous faite tomber le bouchon dans la bouteille parce que vous y ave trop mis de pression. Quand son temps est achevé, sa patience épuisée et sa tolérance usée, Faith se montre agressive, violente, nébuleuse et très, très méchante. Cruelle à ses heures de colère perdues, elle sait se montrer dure à un point tel qu’on croirait voir en elle la pierre plutôt qu’un cœur. Détrompez-vous. Elle a seulement l’habitude de tout prendre sur son dos, de ne jamais dire non, de peur de vexer quelqu’un, et de n’attendre qu’à la toute dernière minute pour exprimer ses sentiments. Non pas qu’elle soit renfermée, tout le contraire, mais ce sont ses sentiments qu’elle enferme bien hermétiquement dans son cœur, ne les laissant s’échapper qu’à l’ultime supplice, quand tout ce qui lui passait sur le dos comme l’eau sur celui d’un canard aura détrempé ses plumes jusqu’à ce qu’il ne puisse plus s’envoler deviendra trop lourd elle criera, et Dieu sait qu’elle le criera fort, elle hurlera même jusqu’à ce que son cœur soit vidé. Ainsi, Faith sera prêt pour une nouvelle ronde. Sachez cependant qu’il en faut vraiment beaucoup pour que son cœur soit plein. Mais ne vous tenez pas sur son passage lorsque le suprême mot sera prononcé, ce ne serait pas bon pour votre vie.

Plus grand défaut : Plutôt houleuse pour son âge, elle ne se laisse pas influencer, et donne son opinion franchement, peut-être même un peu sciemment, mais cela ne la dérange pas. Quelque fois, elle se montre orgueuilleuse, et ne veut pas toujours avouer ses torts, mais son plus grand défaut reste encore sa profonde tête de mûle qui sait en exaspérer plus d'un. Elle est butée, entêtée, on ne peut même pas dire déterminée, elle est tout simplement innacessible lorsqu'une idée lui trotte dans la tête. Et personne ne pourra la changer, elle le sait.

Plus grande qualité : Chaleureuse, elle se montre souvent sous un jour gai, jovial et amical car elle aime la vie et se sait entouré de gens qui ont vécu pire que ce que son imagination pourtant débordante et encore juvénile pourrait avoir le goût d'imaginer.
Peurs : Faith en a beaucoup des peurs. Vous saviez que son nom, si on le traduit en français, veut dire Foi? Elle a la foit, oui, une foi indéniable en la religion qui prends aussi une grande palce dans sa vie, mais la foi n'en l;ève pas les peurs humaines. Faith a peur qu'un jour, son monde s'écroule à nouveau comme à la mort de sa mère, elle a peur qu'un événement terrorisant lui retire ce qu'elle a de plus cher au monde. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, elle n'a pas peur de la mort, mais elle est a peur que sa vie ne s'achève trop vite, avant qu'elle ait finit de vivre pleinement ce qu'elle veut vivre.
Désirs : Un de ses désirs est de toujours en savoir plus, de ne jamais arrêter de poser des questions, car ainsi, elle saura que même si on la prend par surprise, elle saura répondre. Mais on ne peut pas vraimetn compter cela comme un désir. Sinon, elle aimerait bien un jour qu'on reconnaisse son nom dans les journeaux, qu'on le dise à la télévision, elle aimerait être connu de tous car elle aurait gagné de grands concours intermondiaux, elle serait célèbre comme son père. Son désir le plus secret est de ne jamais décevoir son père, mais aussi qu'il lui dise qu'il est fier d'elle, car bien qu'il le démotnre, jamais il n'a prononcé ces mots que Faith désirent tant ; Je suis fier de toi, Faith.


IV Apparence

Allure générale: Faith est assez grande, elle fait 1m65, mais elle n'aime pas ça, elle dit que ça l'encombre lorsqu'elle veut monter parce que les chevaux sont tous trop petits ou bien alors ce sont les étriers. De longs cheveux bruns cascadent le long de ses joues sous des pomettes plutôt saillantes, rehaussant l'éclat de ses yeux bleus verts avec les reflets roux et châtains qui s'y miroitent selon la saison et l'éclairage. Ils descendent jusque sous ses épaules rondes mais cadrées sur un tronc ferme et élancé qui donne un air de poupée au reste de son corps. Elle a des jambes longues et fines, qu'elle tente de cacher sous ses robes bien que cela ne fonctionne pas vraiment puisqu'elles ont plus souvent tendance à rehausser cette galbe féminine et attirante. La jeune femme a un visage doux et chaleureux, qui sourit presque toujours, faisant ainsi découvrir de belles dents blanches bien entretenues et deux petites fossettes sur le côté de ses lèvres rosées.
Style vestimentaire: Un style vesitmentaire? Faith est assez vieux jeu, elle n'a jamais porté de pantalon jusqu'à il y a deux ans, lors de sa première monte autorisée, sinon, elle est en robe de mousseline, de soie, etc., des matériaux que seuls les riches peuvent s'offrir de nos jours. Faith est assez stricte au niveau des vêtements, elle ne connaît pas d'autre mode que celle qu'on lui a permit de connaître. Toutefois, elle commence à porter des jeans et des hauts plus «modernes» afin de s'incorporer à la société qu'elle veut intégrer.
Manies: Pas vraiment, mais si on peut dire ça comme ça, elle est assez nerveuse et ne sait pas tenir en place, les seules fois où elle arrête de bouger ou de de changer de sujet, c'est quand elle est triste, en colère, mal à l'aise ou que quelque chose d'autre ne va pas. Vous pouvez aussi prendre cela pour un signe avant-courreur.


V Biographie

L'histoire du personnage: [i]Faith est née dans une famille dans laquelle l'argent ne manquait pas ; son père était, et est toujours, un éleveur de grands chevaux espagnols et sa mère était une redoutable femme d’affaire. Durant son enfance, on l'éleva comme une grande dame, elle apprit à jouer du piano et de la harpe dès l'âge de trois ans, à dessiner à l'âge de quatre ans et à cinq ans, son père l'envoya dans un pensionnat pour filles afin qu'elle débute son apprentissage parmi les meilleures. Bien sûr, Faith n’avait pas idée de sa chance et nombre de fois elle voulut quitter le pensionnat pour revenir auprès de ses parents, qui lui manquaient atrocement, car c’est dur d’être séparé de ses géniteurs six jours sur sept à cinq ans. On a encore besoin de sa mère pour être rassurée le soir, on a encore besoin de son père pour le faire voler dans ses bras le week-end dans la cour arrière. Bien malheureusement, on la réprimanda tant qu’elle se lassa et se remit aux études, au grand soulagement des sœurs qui l’élevaient pratiquement. Se trouvant être la première de sa classe durant trois ans, son père, ayant acheté des parts énormes d'une fructifiant industrie pétrolière, décida de la ramener près de lui, s'ennuyant bien trop de sa petite fille chérie. Faith connu alors une existence pire que ce qu’elle pensait. Son père la laissait à la merci de nounous toutes plues effrayantes les unes que les autres et sa mère ne lui consacrait que deux heures par jours, et encore, c’était des jours bien beaux lorsqu’elle avait autant de temps pour sa fille qu’elle qualifiait de «irresponsable» et de «enfant gâtée», mais Faith n’avait jamais demandé à avoir tout cela, et si elle était si vive et houleuse avec eux, c’était parce qu’elle n’aimait pas les voir si peu.

À l'âge de dix ans, sa mère connut une mort tragique dans un accident de voiture avec son père. Ils étaient en route vers une nouvelle écurie où son père allait évaluer le potentiel d’une jument poulinière lusitanienne, son propriétaire leur ayant adressé une lettre de courtoisie demandant s’ils voulaient bien que leur meilleur étalon, Sol Del Libertad II des Cieux, saillisse sa jument. Ils avaient dérapés sur la chaussée trop glissante dans une courbe et s'étaient embourbés dans le garde-fou, ils étaient si près de l’écurie que ce fût un des palefreniers qui découvrit la voiture. La voiture avait fait trois tonneaux avant d'atterrir dans un champ d’avoine, qui servait pour nourrir les chevaux. L'ambulance avait mit trente minutes à arriver, et les policiers quinze à les sortir de l'engin qui menaçait d'exploser à tout moment. Alors qu'ils venaient d'extirper du véhicule de grande classe le mari qui était au volant, inconscient et grièvement blessé au dos et à la tête, le redoutable redouté arriva. L'explosion projeta dans la mort deux policiers, un infirmer et blessa dix des trente survivants, comprenant dedans le père de la pauvre Faith qui était à ce moment là aux écuries de son géniteur, contre la volonté de ce dernier évidemment.

Elle avait commencé à avoir cette subite passion pour ces canassons lors d'un voyage à Paris. Elle l'avait tellement exaspéré pour aller voir la Ville lumière qu'il l'y avait emmené. De là-bas, elle avait vu un escadron de police montée en parade. Les chevaux aux têtes majestueusement racées, leurs encolures finement recourbées et leurs membres relevés qui faisaient du trot un trot au port céleste l’avaient enchanté et c'est là que tout avait commencé à tomber. Elle savait que son père possédait de ces magnifiques bêtes à l’œil vif et aux mouvements si souples, mais elle avait interdiction de pénétrer dans les écuries, son père ne voulant pas qu’elle se salisse avec le crottin, qu’elle empeste l’équidé, non, ce domaine était réservé aux hommes.
Elle rêvait de ces bêtes magnifiques à l'école, son écoute remarquable en subissait le choc, les notes étaient en chute libre. Son goût pour la musique, la lecture et l'écriture s'usurpèrent jusqu'à se laisser submerger par l'obsession du dessin. Encore là, son père n'aurait jamais eu cette dispute avec la mère de la jeune femme ce fameux soir si elle ne dessinait pas que ces stupides chevaux aux ailes trop grandes. Ainsi ce fût-il qu'elle apprit la terrible nouvelle par sa gouvernante qui alla la chercher aux écuries, complètement paniquée.

"Mademoiselle McLoryn, il est arrivé quelque de terrible, venez vite!"

Sur ce discours des plus effrayants, la jeune demoiselle suivit la gouvernante dans sa robe du matin de lin blanc un peu délavée par la poussière du foin, jusqu'à la limousine et se rendit à l'hôpital où son père et la dépouille de sa mère avaient été emmenés. Une fois sur place, elle demanda à voir son paternel, mais on lui refusa l'accès, l'invitant plutôt à venir s'asseoir pour attendre un médecin avec sa gouvernante. Mais la fillette ne voulait rien entendre, elle voulait voir son père! Finalement, on la conduisit jusqu'à lui, il avait des bandages partout, son dos était encadré dans une sorte de corset de plastique.

Durant les deux années qui suivirent l'accident, on ne prononça le nom de la mère de Faith, Mary, qu'une seule fois, et ce fût à ses funérailles. Son père s'était racheté en donnant à sa fille tout ce qu'elle désirait, même s'il savait que la gâter ainsi n'était pas bon pour elle. Il pensait à tort qu'elle lui en voulait, et elle croyait de même que son père la gâtait seulement pour ne pas l'avoir en face car il avait honte, pensant certainement qu'elle avait provoqué la mort de sa femme qu'il aimait tant. Finalement, un jour, le père et la fille s'expliquèrent et à force de patience, le mois suivant, ils étaient redevenus l'équipe qu'ils avaient toujours été avant l'accident, mais le père avec ses jambes en moins. Car en effet, le choc causé par l'impact du garde-fou avait paralysé l'homme à vie. Mais sa fille, elle, avait encore de belles jambes bien mouvantes et il lui offrit son premier cheval, car il avait bien vu que ce qui lui plaisait le plus dans le domaine était les écuries, dans lesquelles elle passait bien trop de temps pour une jeune femme, à l'âge de 14 ans. Un peut tard peut-être pour commencer l'équitation, mais elle était prête à tout. Son premier cheval fût une jument d'âge mûre du nom de Frozen Reading, qui lui concéda sa patience et sa majestueuse carrure pour que Faith la mène une fois de plus au sommet dès qu'elle atteindrait 18 ans, bien qu'elle n'eût jamais le temps de le faire puisqu'elle n'eût 18 ans que la semaine avant de partir pour Freedom Creek, c'était ainsi son cadeau d'anniversaire. Toutefois, après cette première victoire auprès de son père, elle voulut apprendre plus, peaufiner ses techniques, et c'est pour cela qu'elle vint ici, malgré les réticences de son père d'être séparé de sa fille chérie si longtemps, et il lui offrit donc cette place dans une de ces trois merveilleuses académies pour sa fête. Alors elle lui proposa de venir la voir aussi souvent qu'il lui plaisait, et elle ferait de même dès qu'elle aurait le temps.

De son côté John McLoryn promit de prendre soin de Frozen, qui pourrait aussi bien devenir poulinière qu’entraîneuse pour ses jeunes élèves. Car à la suite de son accident et de sa réconciliation avec sa fille, John avait prit une grande décision : il allait mettre aux profit de tous ses chevaux si doux et calmes afin que d’autres que sa fille puissent aussi apprendre l’art de l’équitation. Ce fût tout de même à regret qu’il regarda sa petite fille chérie partir vers l’inconnu, vers Freedom Creek, tandis que lui restait au Haras pour s’occuper des élèves et des chevaux qui arriveraient bientôt.
[/i]


VI Autres

Nom de la personne choisie en avatar: Jennifer Morrisson.
Comment avez vous connu le forum :C'est moua! Sasha^^
Evalué votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10 : 9/ 1O
Connexion sur le forum: / 7jrs Autant de fois que Sasha viendra!
Fille ou garçon : F
Libre à vous.. Boo?

VII Exemple de Message

Bon, bon, voila!

À travers la vitre teintée de la limousine blanche dans laquelle son père, assis bien confortablement dans son fauteuil roulant à côté, avait tenu à la conduire avec son valet et son chauffeur, la jeune femme admirait les si beaux paysages du Domaine de Freedom Creek avec joie. Lorsque le chauffeur tourna dans l'allée du bâtiment d'acceuil, Faith sentit son coeur imploser, ils étaient enfin arrivés! Après cinq heures de route et huit de vol privé, ils étaient enfin rendus dans son nouveau chez-soi. En attendant que le chauffeur vienne leur ouvrir la portière avec le valet, elle regarda les alentours avec précisions, tentant de détailer la moindre feuille d'arbre pour s'en souvenir et les croquer plus tard. Une fois rendue dehors, dans sa belle robe de mousseline verte un peu étouffante, surtout avec ce fichu corset que son père lui forçait à porter, elle voulut aider le valet à sortir ses bagages, entre autre sa malle pleine de robe, son matériel de dessin et sa boîte de livres en tout genre, mais son père l'en empêcha. Alors elle suivit son paternel jusqu'à l'intérieur, s'émerveillant du moindre coin de mur, moindre fresque, selle, décoration, accrochés dans l'acceuil. Elle ratrappa son père en fauteuil roulant qui était déjà arrivé au comptoir et demandait s'il y avait un service de valet.

< Papa, je vous en prie, je pourrai me passer de tels services. >

Elle fit un petit sourire gênée à la réceptionniste et déclina ensuite son nom et prénom, faisant taire son père dès qu'il voulait poser une question car elle ne voulait pas se mettre à dos déjà le peu de gens dans l'entrée qui la regardaient comme si elle débarquait d'une autre planète avec son père en complet dans une chaise roulante et elle dans sa robe à presque mille dollars. De plus, son valet qui traînait ses affaires n'était pas bien vus et encore moins la grosse limousine blanche qui trônait devant la porte avec le chauffeur devant. Faith se tourna alors lorsqu'elle entendit une voix parler derrière elle. La jeune femme eût un sourire jovial tandis qu'elle répondait simplement;

< Oui, Madame, j'ai fait bon voyage. Merci de vous en soucier. >

La femme hocha simplement la tête et posa ensuite son regard sur son père qui fronçait les sourcils. Il s'approcha d'elle et lui demanda si sa fille allait être bien traitée ici. Lorsque la directrice lui assura que oui, John embrassa une dernière fois et fit pivoter son fauteuil pour sortir du gran^d bâtiment. Faith se présenta ensuite correctement auprès de la dame et la suivit dans son bureau. De là, Faith replia les pans de sa robe sous elle et prit place dans un des deux fauteuils très confortables, devant l'impressionante surface de travail en chêve. Faith attendit patiemment tandis que la directrice lui dictait les nouvelles consignes de sa vie ici, à Freedom Creek. Faith ne l'interrompit qu'une fois : Lorsqu'elle voulut se lancer dans un grand sermon de la vie sur «Ici vous n'êtes pas différentes des autres.» Faith lui fity aussi bien comprendre qu'elle savait déjà cela et ne pensait pas avoir quelconques privilèges vu son haut rang social.

Re-Bienvenue ^^



Bon jeu