Cours particulier

IL revint alors dans son bureau, une cravache de cuivre brun dans sa main ainsi qu’une paire de la même matière qui l’accompagnait suivit par son cocker aux oreilles frôlant le sol, l’aiguille tournait sur le cadrent le soleil sortait alors petit à petit, donnant vie à l’académie. Ses bottes bien astiquées frappèrent le sol, claquant une porte dans le couloir, le directeur de Dryness est de retour dans ses quartiers … La matinée commençait par des dossiers, coup de téléphone, prenant le temps alors d’ouvrir son PC il observa ses travaux de la veille reprenant le boulot ! …
Stop, il sortit son esprit de ses travaux un instant le temps de se préparer un café noir, au passage il vit son chien, sa petite merveille qui somnolait sur le grand tapis en face de la porte, allongé de tout son long, il s’accroupit la tasse en main, le liquide se laissant son odeur dans tout le pièce, Logan posa sa main sur son chien. Susurrant quelques paroles au petit chien, le directeur de Dryness se redressa prenant alors le pas vers se grand siège de cuivre noir.
Contrairement à beaucoup de lieux dans l’académie, la pièce n’était pas spécialement chaude du point de vue de la température mais le mobilier non plus, un bureau en bois massif de couleur noir, un ordinateur de la même couleur, une étagère de même, tout meuble dans cette pièce était au couleur de la nuit. Du blanc ? Oui la tapisserie était blanche, cette effet blanc noir donnait un certain style bien propre au propriétaire, contrairement à ce que certain pouvait penser la pièce n’était pas vide de vie, une grande plante verte était dans un coin et sur le rebot de l’une des deux fenêtre il y avait là deux orchidées, de couleur violette, fleurissant encore …
Entrain de lire le dernier dossier qui avait fait surface sur son bureau en d’autre mot le dernier venu dans son académie, quelqu’un toqua, restant dans son dossier il dit d’une voie forte, buvant alors une gorgée de son café ! Si vous pensez que Monsieur Hécart allait se lever pour ouvrir la porte, je pense qu’il faut vous vite vous sortir de vos rêves …

"Quoi ?... Entrez ..."

Logan entendit très bien le son de la porte qui ouvre, mais néanmoins il ne se chargea pas le premier d’accueillir la jeune fille, ce fut le petit chien qui ne tarda pas à sauter de panier et à lui tourner autour comme une folle, la regardant avec des grands le temps de son petit discours qui ne lui était pas du tout destiné, mais le petit cocker l’écoutait toute frétillante quand même.
S’adossent bien confortable dans son grand faut le directeur fit un signe de main invitant la jeune fille à prendre place.

« Vanina ça suffit maintenant … Viens ici ! »

La chienne détala sur la parquet en quatrième vitesse manquant de glisser elle vint derrière le bureau au pied de son maître, s’allongeant prés de lui il lui adressa une petite caresse ainsi qu’un petit murmure bien plus doux que ses dernières paroles, qui étaient elles sèches et froides, elles elles étaient maintenant douce, un court instant de tendresse comme oubliant la présence de son élève !

« Sois sage maintenant ! »

Alors elle voulait quoi ?
Logan de décida toujours pas de briser le silence qui s’installait dévisageant la jeune personne, si timide à première vu, elle avait prit soin de remettre sa robe, une vrai poupée Barbie elle aussi ? Que devenait ce monde remplit de fille qui ne porter à tout moment attention sur leur vêtement, son regard ce posa sur ce papier qu’elle serrée contre elle comme un bébé sa peluche.

«Donnez moi ce papier, s’il est dans votre main ici c’est bien pour raison, et dépêchez-vous je n’ai pas que ça à faire ! Y a pas de je le crois vous avez manqué un cours point à la ligne, on hésite pas ici mademoiselle ! D’accord, et vous voulez alors travailler le contenu de mon premier cours je suppose alors ? Ou aborder encore d’autre point ?»

Observant encore la jeune fille, fallait l’avouer le professeur était toujours curieux de voir ce qu’il donnait sur un cheval, voyant beaucoup de mérite sur un dossier mais une fois en face de lui c’est décevant, ce n’est pas pour rien que Logan avait décider qu’en première année chaque cours serait plus un test qu’autre chose, il pouvait là évaluer les défauts, les difficultés de chacun après tout s’ils étaient parfait ils ne seraient pas ici …

« D’accord, alors pour ça je vous dorez de travailler ça en deux fois, vu que votre cheval n’est encore vraiment entraîné, pour cette première fois on fera le cours normal le contenu de ce que j’ai avec vos camarades, et pour la suite on fixera une date une fois que je vous aurez un peu déjà évaluer je viendrais à cheval avec vous ! »

Oui avant toute chose, il voulait savoir de quoi étaient capable non seulement la cavalière mais aussi son cheval ou poney en effet suivant son entraînement passer et ce que ça donnait sur des obstacles simples on pouvait se faire une idée, s’il à déjà du mal sur des obstacles isolés y du boulot, bien sur y ce travaille d’endurance en contre partit mais pour le moment les élèves n’en n’avaient pas spécialement besoin, mais le directeur était toujours prêt à aller plus loin avec l’un d’eux surtout quand il venait d’eux même, voir un élève en demander plus, c’était toujours un bonheur pour n’importe quel professeur même pour Logan même si il ne montrait pas il prenait son job à cœur et adorait enseigner apprendre son savoir aux élèves.

Elle ne le lâchait plus du regard, et c’est prenant un stylo en main griffonnant quelques notes sur un papier qu’il lui répondu avec un certain calme, enfin une tranquillité à la Logan bien sur avec sa mauvaise humeur habituelle il faut juste savoir faire la différence, à première vu il semblait plus énerver qu’autre chose mais quand on comprend son langage on peut savoir qu’il est simplement neutre envers cette élève !
Tout un fonctionnement …

« Demain matin 10 heures sur le terrain de Cross pour votre séance de rattrapage et pour la suite je vous propose la semaine prochaine mardi matin vers 11h il devrait faire en beau en plus ! »

Vu que le temps était au fleurette si ridicule il devrait certainement faire beau enfin c’est ce qu’avait dit la chaîne météo aussi, le directeur jeta un œil dehors mais quesqu’il regrettait déjà l’hiver, son vent glacial, ses tempêtes de neige, le froid qui frappe au visage … Non maintenant les oiseaux chantaient, laissant l’envie de leur envoyer une pierre dessus pour pouvoir travailler en paix, des fleurs partout, des élèves joyeux autant que les oiseaux d’ailleurs !