Alejandro Cessan (Juste pour toi, Sandra ^^) Feuniit

Formulaire

Le Nom du Personnage





I. Identitée

Nom: Cessan
Prénom(s): Alejandro
Surnom(s): Drew, Al'
Date & lieu de naissance: Alejandro est né en Sicile, Italie, mais a été conçu au Chili, là où habitait sa mère, il a ouvert ses grands yeux verts le 26 mai 1989.
Âge : 19 ans

Nationalité & Origine : Alejandro est né d'un père Sicilien, José Cessan et d'une mère Espagnole, Sabra Animia, il a par contre des origines plutôt mélangées, corrosives si on veut. Pour tout vous dire, Alejandro a des grands-parents paternels aux origines très latino et des grands-parents maternels aux origines plus hispaniques, mais il reste un jeune homme qui connaît son histoire et sait de qui il vient.
Niveau : Alejandro monte depuis seulement cinq ans, mais il a fait des progrès considérables depuis la première fois qu'il posa un pied dans l'étrier. Comme il a commencé en tant que simple palefrenier, les chevaux n'ont pas de secrets pour lui dès l'instant où ni licou ni autre harnachement brime la comunication. Toutefois, il a fait un effort et a passé presque tous ses galops, il est rendu au septième, ce n'est pas si mal, non?


II Préférence & Goûts

Livre Favoris: Alejandro aime tout ce qui se rapporte à l'amour, il adore surtout le roman de Marc Lévis, Et si c'était vrai, car en même temps de ralier la fiction et un style d'écriture particulier, l'auteur amène le lecteur dans un tout autre univers qui fait chaque fois frémir le jeune homme.
Style musical écouté: Alejandro aime ce qui bouge, ce qui pourra le faire danser, les origines obligent, bien sûr, mais il adore la musique de danse sociale, plus particulièrement l'instrumentale, tribale. Une mélodie sur des tam-tam peut le faire vibrer comme un jazz bien profond le peu tout aussi, c'est au choix mais surtout selon ses humeurs du moment.
Chanson préférée: Vu son goût prononcé pour la musique et moins les chansons, Alejandro n'a pas véritablement de chanson préférée à proprement parler, mais il aime bien les ballades pop-rock, comme celle de Jesse McCartney, Why don't you kiss her.
Film préféré: La télévision n'a jamais fait partit de sa vie, la seule fois où il était autorisé à regarder dans cet écran qui vous ramolit le cerveau, c'était lorsque la messe était dite le jour de Noël puisqu'il vivait aux États-Unis et que l'émission était en direct du Chili. Le seul film qu'il ait jamais vu fût Péché originel.
Ville & Pays préférés: Son pays préféré est bien entendu l'Espagne, quoique que l'Italie soit dans son coeur aussi et sa ville préférée est sans aucun doute Palerme en Sicile, une île autonome de son cher pays qu'est l'Italie.
Animal préféré: Peut-être un peu cliché comme animal favori, mais cela n'enlève rien à ce pourquoi Alejandro le prote autant dans son coeur. Si, au début, il trouvait cet animal insignifiant et plutôt dénigrable, aujourd'hui il ne pourrait vivre sans en avoir un à ses côtés. Vif, intelligent et empathique, il ne juge personne par les actiosn précédentes ou celles futures, il accepte ou non que vous soyiez près de lui par comment vous êtes avec sa personne. Peu lui importera votre poids, votre taille, votre âge, votre race ou même votre sexe, le cheval est un animal grégaire qui ne demande qu'à avoir de la compagnie pour jouer et l'aimer autant qu'il vous aimera. Fidèle et sauvage à la fois, cet animal qui peut avoir le sang chaud, froid ou demi-sang est une bête fougueuse et fière qui jamais, même si les hommes ont réussit à poser une selle sur son dos, ne reniera son passé de cheval libre. Alejandro les aime parce qu'ils sont doux et tendre tout en pouvant se montrer violent et impulsif, comme lui.
Plat préféré: Comment avoir un plat qui figure en haut de sa lsite alors qu'il y a toujours quelque chose de nouveau à goûter, un nouveau met tout aussi bon et délectable que le précédent à savourer? Ne pouvons-nous pas simplement aimer chaque jour un nouveau plat comme notre préféré? Alejandro ne saurait nommer avec certitude un met qu'il apprécie particulièrement, trop de chose ayant passé dans sa bouche, coulé dans son esoephage et descendre jusque dans son estomac, les papilles gustatives actives goûtant avec ferveur ce qu'on leur permettait.
Saison favorite: Peu lui importe la saison, il sait qu'il n'y a pas de mauvaise température, seulement de mauvais vêtements, alors pourquoi aimer une saison plus qu'une autre lorsqu'on peut profiter avec la même passion de l'extérieur dans chacune d'elles.
Couleur préférée:Sans aucn doute, il y a bien trop de couleur dans l'univers entier pour en choisir une seule et la faire valoir plus que celle qui la cotoie. Prenons-en donc une au hasard, celle qui orne l'iris de son regard depuis presque deux décennies maintenant, le vert lavé.

Passion* : Ne serait-ce pas très attirant, un homme qui danse avec lenteur, qui se déplace sur une piste de dans avec une aisance, comme s'il volait? Eh bien il a cette passion qu'il ne cache pas véritablement, mais qu'il n'exprime que lros du temps venu, celle de la danse. Salsa, tango, valse, roumba, peu importe, il connait tout ces pas avec précision, menant la partenaire qu'il aura dans une danse sociale aussi lente qu'elle pourrait être rapide, avec fermeté et douceur à la fois, guidant ses pas à travers un univers différent, celui où il s'évade et se laisse aller complètement, dévoilant des atouts assez charmeurs. gare à vous, mesdames (Sandra) si vous vous faites prendre sous le charme de ce jeune latino-hispanique sur une piste de danse...


III Psychologie

Caractère: Alejandro est un jeune homme qui n’a pas froid aux yeux, sans en devenir réellement insolent, il ne se laisse pas manipuler facilement, il faudra user de beaucoup de ruse et de malice pour parvenir à ses fins. Décidé et persuasif, quand quelque chose lui tiens à cœur, il ne le lâchera pas, comme un prédateur happe un morceau de viande, il va le goûter jusqu’au bout et ne cèdera pas ni sous menaces, pression ou bien chantage. Drew est quelqu’un de très têtu, à la limite du borné, qui n’aime pas réellement être contredit, mais qui encaisser les critiques avec beaucoup de calme. Patient et simple, il sait garder son sang-froid, c’est très rare de le voir en colère. Par contre, il peut être souvent frustré ou mécontent et dans ces cas-là, il est prêt à tout. Doté d’un esprit vif et très compétitif, Alejandro est quelqu’un qui ne prend pas les choses à la légère, il finira toujours ce qu’il a commencé, quitte à en mettre une pas encore entamée de côté pour quelques temps.

Quand on le voit sous son premier jour, Al’ est calme et gentil, un sourire s’accroche très facilement sur ses lèvres, mais il peut aussi vite disparaître que revenir. Son regard trahi souvent sa joie, mais il est un jeune homme qui sait se jouer des autres lorsque nécessaire. Franc et direct, il n’hésite pas à dire ce qui lui passe par la tête, quitte à parfois blesser des gens. Certains le dise cru et d’autre le dise honnête, à vus de choisir lequel de ces deux adjectifs convient le mieux pour lui. Toutefois, Alejandro est compréhensif et loyal. Une fois sa confiance, qu’il n’accorde qu’à ceux dont il peut être certain de leur fidélité, acquise, plus rien ne pourra l’empêcher de faire tout en son pouvoir afin que rien ne vous arrive. Sans être surprotecteur avec ses amis ou amourettes, Alejandro est conscient et il est attentionné. Il a une estime de lui-même qui a mit un peu de temps à s’installer, mais maintenant qu’elle est là, plus rien ne la retira. À l’épreuve des insultes et des remarques en apparence, Alejandro ne porte plus attention à ces gens qui n’ont rien trouvé de mieux à faire que de le rabaisser pour se remonter. Ceux-là, il les regarde de haut, très haut, avec cet air arrogant dont il a le secret. Parfois insolent ou bien cinglant, le jeune homme ne tourne pas autour du pot et bien qu’il puisse parfois paraître vicieux sur des points sensibles, il n’en est pas moins quelqu’un que l’on aimerait à connaître. Son amitié est éternelle si vous faites en sorte que rien ne la brise et ses conseils sont pratiques et concis.

Plus grand défaut : Son plus grand défaut, mais c'est qu'il en a beaucoup, des défauts, le jeune latino-hispanique. Certains diront que le plus grand d'entre tous est son fort esprit combatif, qui le pousse parfois à relever des défis qui le surpasse, mais qu'Alejandro prends plaisir à relever justemnt parce qu'ainsi, il prouve à tous que malgré tout, il sait aller lus loin encore que ce qu'on lui permet. D'autres diront que c'est certainement son côté capricieux qui est le plus vil. En effet, Drew est un perfectionniste ― cela peut aussi passer comme un de ses grands défauts ― qui ne laisse rien au hasard. Il n'aime pas que les choses soit faites à moitié et peut se montrer capricieux pour des broutilles, bien que le plus souvent ce soit réellement le désir de toujours obtenir la perfection qui remonte à la surface.
Plus grande qualité : Ne dit-on pas que nous avons des qualités à la grandeur de nos défauts? Si Alejandro a de si grandes qualités, ce n'est pas pour rien non plus. Plongez dans ses yeux verts où se mêlent la compréhension et le désir de vouloir aider. L'empathie est un don, le courage une vertue, et la gentilesse une qualité. Si vous entremêlez ces trois coses, vous obtiendrez un des bons côté du jeune homme. Courageux, il n'hésite jamais à porter secours à quelqu'un, peu importe qu'il puisse risquer sa vie ou même la détruire, si quelqu'un, de surcroît qu'il connait, est mal en point, Drew' fera des pieds et des mains afin de le sortir de là. Sans être vraiment empathique, Alejandro est un jeune homme qui, certes, n'a pas froid au yeux, mais n'a pas non plus un coeur de pierre. Compréhensif et amical, il est gentil avec environ tout le monde et bien que sa confiance ne s'acquis que durement, être son ennemi est d'autant plus difficile.
Peurs : La peur est un sentiment fondamental. Car, avant d'être courageux, les héros n'ont-ils pas peur? Peur d'échouer, de ne pas être à la hauteur? Tout le monde dans sa vie a peur un jour, peu importe de quoi, la peur est quelque chose qui ni ne se voit, ni ne se touche. On dit que le meilleur moyen de vaincre ses peurs est de les affronter. Que faire alors quand la plus grande peur qui hante notre âme soit celle de ne pas pouvoir vivre assez longtemps pour découvrir toutes les merveilles de la vie? Alejandro est ainsi, élevé dans la religion catholique depuis toujours, il connaît ses psaumes par coeur et en récite un chaque soir avant d'aller dormir, mais malgré tout, malgré les prières, malgré sa foi inébranlable en Dieu, il a toujours peur que sa vie soit écourtée et qu'il ne puisse jouir pleinement du temps des vivants. Pourtant, pouvons-nous seulement dire que c'est une peur? Car qui n'est pas inquiet de traveser un boulevard où les voitures ronronnent et filent de partout? Qui n'a jamais ressentit de soulagement en sortant d'un avion après y avoir fait un voyage, car nous avons toujours en tête des accidents mémorables dans toutes sortes de circonstances, et on se dit «Ça aurait pu être moi...».
Désirs : Les désirs, les désirs. La définition d'un désir est assez particulière, on dit que le désir est quelque chose que l'on veut mais que l'on n'a pas réellement besoin. Le désir d'être aimé, le désir de vaincre. Le désir aussi de savoir que l'on est pas seul. Certains désirs se concrétisent et deviennent besoins, d'autres s'estompent et retombent à l'état de simple envies. Alejandro a le désir d'un jour remporter le plus prestigieux des concours de cross afin de prouver à tous, mais aussi à lui-même, qu'il ne se laisse pas abattre par un mauvais joueur. Plusieurs autres petits désirs, autant envies que besoins charnels, couvrent son esprit, mais s'il ne ressent pas le besoin de les exprimer, alors il se contiendra. Toutefois, il a des désirs charnels, toucher, ressentir sur sa peau. Le désir de pouvoir un jour ressentir quelque chose de plus qu'un simple chatouillement dans les orteilles lorsqu'il marche, de pouvoir enfouir ses pieds dans le sable en sentir les petits grains minuscule glisser sur sa peau nue, entrer entre ses orteilles.


IV Apparence

Allure générale: Quand on le voit pour la première fois, travailler au soleil ou bien simplement assis dans les marches, on est attiré par sa peau légèrement bronzée, dûe à ses origines, et l'aura calme et bouillante en même temps qu'il dégage avec fierté. Il a une tête assez petite, plus longiligne qu'écrasée. Un visage aux traits taillés dans le roc avec ces années de travail au soleil, des petits yeux en amande rondelettes aux couleurs charmeuses. D'un vert lavé profond mais livide, ils changent parfois de couleur pour virer dans un marron noisette teinté de quelques feuilles de printemps vertes émeraude. Expressifs et traîtres, ils n'en restent pas moins électrisants lorsqu'ils vous percutent avec cette intensité propre à eux même et qu'un fin sourire se dessine sur ses lèvres plutôt pulpeuses. Des petites fosettes, qu'il trouve d'ailleurs bien trop féminines à son goût, rehaussent ses pomettes presque saillantes tandis que son nez droit et quasi symétrique se retrousse légèrement. Il découvre alors des dents d'un blanc étincellant, signe évident qu'il en prends soin. Puis, il vous tend calmement sa grande main aux paumes larges et encourageantes. Votre regard descend sur son torse musclé. Des muscles qui sont bien formés, vous avez presque envie de les palper, incertain s'ils sont vrais ou faux. Mais non, ils ont été travaillés avec soin, entraînés et entretenus pendant des années, maintenant ils sont frais et dispo à chaque instant. Puis, vos yeux curieux glissent sur son bras, qui soit dit en passant, ressemble comme deux gouttes d'eau à l'opposé, là encore des muscles trépignent d'impatience de faire la démonstration de leur force et de leur fermeté. Il a des épaules carrées mais plutôt petites, ses bras sont acceuillants, dans les moments les plus durs, vous vous dîtes qu'ils seraient encore plus attirants. Qu'à cela ne tienne, si jamais tout va de travers, il saura vous réconforter en vous serrant contre le lui, appuyant sa mâchoire carrée sur le dessus de votre tête, son menton plus fin bougeant au rythme de ses paroles réconfortantes.

Maintenant, il faut descendre encore un peu, alors pour se faire, vous devez revenir demain, avec des lunettes de soleil fumées qui l'empêcheront de voir où votre regard se dirige. Des jambes plutôt courtes mais bien entretenues. Tiens, quatre cicatrices zigzaguent sur une de ses jambes, la gauche. Un à la mi-cuisse, vous la voyez à moitié, elle est cachée par son vêtement, une sur le genoux, non, deux, une de chaque côté de la rotule, et une sur le tibia. Elle ne sont pas fraîches, mais l'empêche parfois de marcher correctement. C'est donc ça, la cane qui trône à ses côtés. Il est de nouveau debout, son bras gauche s'appui dessus et il s'approche de vous. Il est impressionnant, il a peut-être des jambes un peu courtes, mais il a un tronc long et svelte, qui contraste curieusement avec son allure de videur de bar, et vous êtes tentez une seconde de reculer, mais l'envie l'emporte sur le doute et vous vous laissez approchez par ce jeune homme à l'allure un peu grogie mais tout aussi charmante. Du haut de son mètre quatre-vingt-un, il vous sourit de nouveau et cette fois-ci, vous tombez sous le charme totalement.
Style vestimentaire: Drew' n'est pas quelqu'un de compliqué, oh, seulement au niveau des vêtements, hein, il n'a porté qu'une seule fois un complet ― et il a horriblement détesté cela ― et c'était lors de son 18e anniversaires, ses grands-parents avaient organisés un banquet en son honneur. Sinon, il portera très souvent un jeans souple qi ne l'empêchera pas de marcher ni de courir, bien qu'il ne courre que rarement, accompagné soit d'un T-shirt ou d'une chemise très simple souvent détachée de trois boutons, il se sens opressé s'il attache jusqu'à l'avant-dernier, mais il le fait parfois et endure cette sensation.
Manies: Sans avoir une petite manie en tant que tel, Alejandro, lorsqu'il est inquiet, a tendance à faire les cent pas sur un petit carré en marchant très rapidement, peu lui importe la cane ou non. Sinon, il pourra facilement en venir à parler espagnol ou italien si quelque chose le chicote ou qu'il oublie que ce n'est plus la Sicile et encore moins sa famille. Il peut vous sortir tout un discours dans une de ces deux langues sans se rendre compte que vous ne comprenez aucuns mots, ou presque, de ce qu'il raconte. Lorsqu'il est nerveux, cela empire et il se ronge parfois aussi la peau autour de l'ongle du pouce, seulement ce doigt là par contre.



V Biographie

L'histoire du personnage: Alejandro, né en Sicile, vivait sur une terre assez petite qui abritait une maison pour trois, deux parents et leurs fils unique, lui-même, dans la cour arrière se trouvait un petit jardin avec une cabane dans un arbre. Le jeune enfant était un ange, s’amusant sans problème dans la cabane avec le petit chiot qu’il avait reçu en cadeau pour sa fête sous l’œil protecteur de sa mère qui, le ventre bedonnant de son deuxième enfant, buvait un café noir. Huit mois plus tard, une petite bouille de bébé criait dans les bras de sa mère, enchantée. Et puis le premier fils entra dans la chambre, vit sa mère, sa mère à lui seul, cajoler un autre enfant. Alors tout changea en lui et il eût beaucoup de mal à accepter son frère, qui avait trois ans de différence avec lui. Cet enfant était le bonheur de ses parents, quoi que lorsqu'il atteint l’âge d’aller à l’école, ses parents misèrent tous leurs efforts dans leur fils benjamin, délaissant un peu Alejandro qui avait à l’époque huit ans, ce fût une tout autre paire de manche. Alejandro, quant à lui, était le pire cauchemar de sa mère, il fuguait, prenait plaisir à la tourmenter en parlant très mal, il était insolent, bref, le jeune ange ne cessait de décevoir ses parents qui ne savaient plus quoi faire. Mais où donc était passé le fils joyeux et ouvert qu’ils avaient engendrés? Son père, un policier qui faisait partit de la brigade montée, ne voulait croire à la tournure que prenait sa première progéniture. Alors, pour le raisonner, il prit le taureau par les cornes et, afin qu’Alejandro cesse de tourmenter ainsi sa mère, il s’était même mit à fumer des joints avec ses amis peu recommandables, il lui imposa un règlement qu'il voulait pénitencier.

C'est donc ainsi que le jeune adolescent alors seulement âgé de neuf ans dû se lever chaque jour aux aurores pour aller à la rivière en bas du terrain où ils vivaient avec la petite famille pour aller se laver, et revenait propre mais déjà fatigué avec l’eau qui servirait pour abreuver les trois chevaux à l’arrière de la cour, juste après l’arbre en bois, dans la grange. Avant cela, Alejandro ne c’était pas intéressé à cette grange, il savait que des chevaux y vivait, mais jamais il n’avait éprouvé un quelconque intérêt d’aller les voir, il savait à quoi ça ressemblait, mais ça ne lui disait pas plus. Puis, il devait se faire son petit déjeuner composé de gruau et d'un bol de café noir, bien qu’au début, il détesta le goût infect de la caféine, il s'y habitua bien vite et découvrit ensuite que sans son café, il était bien trop éreinté avant d’avoir terminer sa journée de travail. Finalement, il lui fallait se dépêcher pour aller s'habiller et aller nourrir les chevaux, les quelques six poules et faire le ménage de la grange. Mais, comme si son père trouvait que cela n'était pas assez, chaque samedi, durant toute la journée, Alejandro se rendait avec son père aux écuries de la police et s'y occupait en faisant les box, sortant les chevaux, les rentrant, les pansant et observant, discrètement car montrer qu'il était intéressé serait se trahir lui-même, son père qui entraînait les jeunes monture destinées à la police montée dans la carrière. Cela dura pendant encore trois ans, jusqu’à ce jour où José se rendit compte des progrès fulgurants de son fils, ses notes à l’école avaient remontées, il faisait ses corvées sans chigner et était très responsable. Il prit donc une grande décision.

Un jour, son père ayant bien remarqué qu'il l'observait, le siffla alors qu’il balayait les allées. Alejandro alla donc à sa rencontre mais s'immobilisa en voyant un magnifique poulain alezan, se tenant fièrement, les naseaux frémissants, dans le manège, fermement tenu en longe par son père. Émerveillé, il voulu aller le caresser, mais son père l'en empêcha. Il lui tendit la longe en lui disant d'une voix propre à la sienne, grave et autoritaire;

« Cette pouliche a deux ans. J'ai longtemps hésité à te la donner. C'est une lourde responsabilité que d'élever un cheval. Mais je sais que tu es prêt. Prends-en soin, mon fils. »


Puis, il laissa son fils, tout ému d'un tel cadeau. Alejandro s'empressa d'aller à la rencontre du jeune poulain. Mais cette dernière recula vivement et faillit se lever. Alors le jeune homme se recula aussi.

Alejandro entraîna la pouliche durant encore deux autres années, progressant avec soin, lui apprenant étape par étape comment se comporter. Il se forma alors entre eux un lien indéniable qui unit un propriétaire et son cheval. Mais, entre tout ça, Alejandro se rapprochait encore plus de son père, pratiquant l'équitation avec lui. Il était doué, comme son paternel. Et sa mère, elle, était d'autant plus heureuse de les voir ensemble que son fils aîné s’entendait encore mieux avec son autre frère, Francisco, qui voulait suivre les traces de son grand frère. Mais, un drame devait venir secouer cette petite famille unie, quelques années plus tard.

En effet, alors qu'Alejandro allait participer pour la première fois de sa vie à une compétition de cross avec sa pouliche maintenant âgée de six ans, donc quatre ans plus tard, le jeune homme de quinze ans était surexcité. En entrant dans le parcours, il avait remarqué un autre cavalier, bien mauvais joueur, qui s'amusait à faire peur aux autres participant, tous sauf Alejandro qui lui savait ne pas se laisser influencer. Il se retrouva donc, après les deux tiers du parcours de fait, en compétition de duo contre l'autre cavalier aussi âgé de quinze ans. Son cheval avait des muscles saillants, trop saillants ; signe visible d'injections de stéroïdes en doses régulière. Mais, ne se concentrant que sur sa course à lui, il en oublia presque l'autre compétiteur. Jusqu'à ce que celui-ci fasse dévier sa monture vers la gauche, vers son adversaire, lors d’un saut. Cela provoqua la chute d'Alejandro, poussé par la main traître de l'autre cavalier. Ce dernier continua sa course, mais le pauvre Alejandro s'étala de tout son long. Comme si ce n'était pas assez, la jument tomba sur l'obstacle, se fracturant du même coup le canon droit.

Rampant tant bien que mal vers elle, l'adolescent alla la rassurer, mais même lui n'y croyait pas, il avait une jambe cassée à tout coup et des côtes fêlées, au moins trois. Ce ne fut qu’une heure plus tard qu'on vint le chercher, un cavalier qui passait l'avait vu et s'était arrêté. Il était allé chercher les secours, qui n'avaient atteint les deux victimes que beaucoup plus tard. Mais, la malheureuse jument n'était plus récupérable. Une Trakhener avec une jambe cassée, ça ne vaut plus rien. Malgré tout, Alejandro ne pouvait se résigner à permettre aux secouristes de l'abattre devant lui.


Un an plus tard, Alejandro marche avec une canne car sa fracture de la jambe à quatre endroits différent ne lui permet pas plus, et sa jument s’en est quand même sortit avec beaucoup de chance. Elle marche, trotte et galope. Mais elle ne saute plus. Pourtant, ce n'est pas ce qui a arrêté Alejandro, qui continue d'entraîner sa jument malgré sa jambe. Elle, Saltadora de los Contratiempos, est d'autant plus heureuse d'avoir retrouvé un train de vie plutôt normal. Enfin, le couple s'entraîna encore et encore et participa à des petites compétitions, mais Alejandro avait quand même du mal à monter sa jument, sa jambe l’empêchant de faire bien des choses. Il ne se passait pas une journée sans que le jeune homme ne fasse des exercices pour renforcer le muscle. Et ses efforts portèrent leur fruit, à dix-neuf ans, donc trois ans plus tard, Alejandro a réussit à renforcer assez sa jambe pour être capable de monter sans trop de difficultés, mais il marche avec sa canne de temps à autre, surtout après avoir monté à cheval. Puis, une lettre parvint chez lui, il avait effectivement soumis sa candidature pour être admis dans une des trois prestigieuse académies sur Freedom Creek. La lettre contenait son acceptation dans l'une de ces trois académies, il devait maintenant se rendre sur cette île isolée afin d’être «classé» dans l’une des trois. Enfin, il quittait son petit coin de pays, un peu à regret tout de même, et allait maintenant vivre une vie pleine et comblée d’adolescent comme il l’avait toujours rêvée. Il laissait derrière lui une jument, une famille et des amis, mais il allait bientôt découvrir de nouveaux horizons.



VI Autres

Nom de la personne choisie en avatar: Jesse MetCalfe, il est d'jà pris mais j'vois personne avec?
Comment avez vous connu le forum : Dites nous comment vous avez trouvé Freedom Creek. Un top site ? Une Pub ? Un ami ?
Evalué votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10 : / 1O, notez vous par rapport à la longueur de vos poste RP. Ceci est très important car comme vous savez il faut un minimum de 8 lignes complètes par messages.
Connexion sur le forum: / 7jrs, sur un total de une semaine, combien de fois verrons votre tite bouille?
Fille ou garçon : Bah tiens!
Libre à vous.. Serait-ce possible de supprimer les deux autres comptes respectifs d'Alejandro Cessan et d'Alessandro Cessan, j'ai fait une erreur d'adresse et de changer mon pseudo pour mettre correctement Alejandro Cessan ? ^.^

Re re bienvenue



Bon jeu
Brave pas trop devant Sandra ^^