Hélène de Bellecour [en cours]

Formulaire

Hélène de Bellecour









I. Identitée

Nom: Parlons tout d’abord du nom d’Hélène : de Bellecour. Voici le nom de notre divine cavalière. Je vous vois vous affolez à la seul mention de ce nom de famille et vous avez raison car vous venez de reconnaître celui d’une célèbre famille de malfaiteurs connu pour ses nombreux méfaits, mais aussi une famille des plus riches possédant de nombreuses entreprises dans tout les domaines, bien évidemment. Oui, ce nom ne laisse pas indifférent. Qu’aime cette famille ou pas, une chose est sur : elle ne laisse pas indifférent.
Prénom(s): Passons à présent à ses prénom : Hélène, Saphire, Crystal, Angélique, Opale et Rose. Bien évidemment elle ne se présente pas avec tous ses prénoms^^, on l’apelle simplement Hélène ou parfois Opale car elle affectionne les deux, Angélique ne vient que rarement, mais Hélène l’aime bien.
Surnom(s): //
Date & lieu de naissance:

« Félicitation, vous avez une fille ! »

Pendant se jour du 17 novembre 1990, un lourd silence régna durant quelques secondes dans la salle d'hôpital présente en centre ville de Marseille. Alexandra, la mère avait des yeux ronds, étonnée, surprise, mais avait en elle un sentiment de joie indescriptible, contrairement à John, le père qui semblait frustré, incompris et presque en colère. Les infirmières ne firent rien de plus, puis après quelques minutes, le père s'écria :

« Quoi ? Non, c'est impossible. On devait avoir un FILS ! »

Il était le genre de personne qui voulait à tout pris assuré les rentrées d’argent grâce à un fils qui récolterait l’argent de la dote de la marié de celui ci. Son entreprise parais invraisemblable pour des gens comme vous, vous vous dites sûrement : « Non ! La dote n’existe plus de nos jours, c’était au moyen âge ! Plus en France. »
Pourtant vous avez totalement tort. Entre les riches cela se fait encore. Mais, revenons au père, c'était son rêve d'élever son garçon pour qu'il prenne la suite de tout ce qu'il avait entrepris. Par peur, et surtout pour ne pas gâcher les mois de grossesses en cas que c'eût été une fille, ils n'avaient pas demandé de vérifié le sexe de l'enfant. Et là, il n'avait pas la bonne surprise. Il était déçu, mais allait tout de même assumer son rôle de père tout en espérant que le prochain serait un homme, bien évidemment. Ils la baptisèrent Hélène, car la mère de sa femme s’appelait ainsi. Dès que John se calma, les infirmières positionna le nouveau né dans les bras de sa mère. On pouvait déjà lire, dans les yeux du père, un regard bleu d'eau glacial, et tout le monde eut des frissons dans le dos : comme si c'était l'apocalypse.

Âge : 20 ans

Nationalité & Origine :
En parcourant l’arbre généalogique d’Hélène, on constate qu’en juillet 1683 s’éteignît la petite reine Marie-Thérèse, si douce, si pieuse et si effacée. Mais, Louis XIV se consola bien vite puisque, peu après, il épousa secrètement Mme de Maintenon. C’est de cette union que les ancêtres d’Hélène commencèrent.
Au cours des siècles, les ancêtres d’Hélène changèrent de nom de famille. Il n’avait plus de postérité mâle. Ce fut une des premières familles à avoir disparu. Comme il n’avait plus d’hommes dans la famille, ils devinrent les de BELLECOUR. Cette famille séjourna des siècles et des siècles au cotés des plus grands de France, comme Louis XVII, Napoléon, ainsi que d’autres personnage connu.
Pour facilité les rentrées d’argent, seule défense que les hommes possèdent en temps de guerre, ils choisissaient comme épouse à leur fils de riches princesses. Mais, nous ne pouvons pas parler d’origine sans parler famille. Car, comme vous vous en doutez, la famille DE BELLECOUR est très riche et puissante.

La famille De Bellecour est une grande et vieille famille qui a traversé les siècles sans que jamais aucun « sous placé » n’y soit de près ou de loin mêlés. En effet, depuis le commencement de cette famille auquel on ne pourra pas vraiment mettre de date exacte, seulement des riches en ont fait partie à la grande fierté de tous évidemment. La famille De Bellecour est une famille plus qu’aisée depuis de très nombreuses générations grâce principalement à un homme, Charles de Bellecour arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière grand-père d’Hélène. Celui-ci déterminé et sans scrupules visait les sommets de la richesse et était bien décidé à y arriver. Il monta alors de très nombreuses affaires, toutes moins honnêtes les unes que les autres comme des trafiques de tabacs, ou bien d’autre encore. Toutes plus ou moins portées sur des faits malsain. En quelques années il se retrouva à la tête d’une fortune colossale qui permit ensuite à sa famille de subvenir à tous leurs besoins et même à plus que leurs besoins sans pour autant devoir bouger le petit doigt. Ainsi à partir de cet époque la famille de Bellecour profita à fond de cette richesse exceptionnel devenant l’une des lignées de riches les plus enviées. Les ancêtres d’Hélène bien qu’étant de grands riches tant par leurs pouvoirs dans la communauté que par leur pensée ne sont pas tous à retenir, nous ne les mentionnerons donc pas. Parlons tout de même de l’arrière grand-père d’Hélène, Philip de Bellecour. Pourquoi ? Tout simplement car celui-ci se maria avec une Anglaise ni plus ni moins. Vous connaissez tout comme moi les Anglaises, ses sublimes créatures pouvant faire perdre la tête au plus rationnel et timide des hommes grâce à leur beauté. Philip tomba fou amoureux de l’une d’entre elle lors d’un voyage en Angleterre et grâce à sa fortune colossale la divine créature accepta la demande en mariage que lui fit le jeune homme. Il coule donc dans les veines d’Hélène du sang Anglais.
Il est maintenant important de préciser quelle est la mentalité de la famille de Bellecour. Et bien elle n’est pas bien difficile à comprendre. En effet depuis le début de cette famille, la corruption à tenu un rôle important. Ce n’est donc un secret pour personne que la famille de Bellecour a jamais fait partie des « personnes à fréquenter » en qui on peut avoir confiance et qui respectent les lois. Loin de là. Ainsi de nombreux membres de la famille sont allés en prison, souvent pour meurtres et certains sont de véritable tueur à gages. Les armes à feu ? Ils n’ont aucun scrupules à les utiliser. Bref, vous l’avez compris la famille de Bellecour est une famille où la corruption règne.
Parlons maintenant de la rencontre entre les parents d’Hélène. A vrai dire, leur histoire n’a rien d’exceptionnel et est même très courante dans les famille de riche. En effet, pour le père de John, il est évident que son fils épousera une fille venant d’une famille dont la richesse est aussi bonne que la sienne. Dès la naissance de celui-ci, sa femme et lui se sont alors mis en tête de trouver une fille correspondant à ses critères. Une autre famille, la famille McDouglas recherchait aussi une futur-mari pour leur fille. Cette famille moins riche et moins renommé que la famille de Bellecour correspondait tout de même aux attentes des parents de John et alors que les deux enfants n’avaient que deux ans ils étaient déjà promis l’un à l’autre. En grandissant, on aurait put être en droit de croire que John se rebelleraient contre cette union arrangée mais ce ne fut nullement le cas car celui-ci ayant les mêmes idées que ses parents sur l’importance de leur richesse, était ravi de pouvoir prolonger la lignée. De plus, les deux couples de parents s’étaient arrangés pour que leurs enfants passent un maximum de temps ensemble pendant leur enfance et leur adolescence et bien qu’Alexandra et John ne soient pas amoureux, ils avaient de l’affection l’un pour l’autre. Ce fut donc par un magnifique jour d’été –rare en France à cette époque- que John et Alexandra échangèrent leurs vœux. Cinq mois plus tard, la jeune épouse annonçait une merveilleuse nouvelle à leur famille

Niveau :
C’est donc 5 mois après le mariage entre Alexandra et John de Bellecour âgés respectivement de 20 et 23 ans, que la jeune épouse annonçât aux deux famille respective qu’elle était enceinte de déjà 3 mois. Vous savez donc tout ce qui c’est passer ensuite. Non ? Mais relisez le paragraphe de la date de naissance voyons. Malheureusement, pour Hélène, elle ne connut pas ses parents. Un accident de la route fatale les renversa (pour plus de renseignement voir Histoire). Contrairement à ce qu’on aurait put penser, elle ne fut pas affectez du moins du monde par la perte de ses parents. Elle ne les avaient pas connu, et donc, alla vivre chez ses grands parents maternels. Pourquoi eux et pas la famille de Bellecour ? Parce tout simplement, il ne voulait pas éduquer un bébé.
Mais, là, on parle du niveau en équitation, je ne vais donc pas m’attarder sur ce fait. Donc, encore bébé, elle arrive chez ses grands parents. En fait, c’est un ranch qu’ils tiennent. La réputation de celui ci est considérable, c’est donc pour cela qui sont riches. Mais, ils étaient beaucoup trop maternel envers leur petite fille, et ne la laissèrent pas monter. Pour la dissuader, ils lui dirent que les chevaux était dangereux, et lui racontèrent toute sorte de mensonges, sur des morts tuait par des chevaux, si bien qu’elle en fit des cauchemars. Et ça à marcher ! La fillette avait si peur qu’elle ne voulait pas sortir de la maison sans la compagnie de ses grand parents. Pas très courageuse me direz vous ? Oh ! Non ! Si vous savez toutes les âneries qu’ils lui ont racontés ses grands parents, vous aurez vachement peur. De plus, le caractère très timide d’Hélène ne lui permettait pas de savoir le juste du mauvais. Un peu naïve certes mais si généreuse.
Ne sachant comment occuper ses journées de vacances, elle se consacra entière à la lecture et à l’écriture. Une vrai intello en français, elle ne manquait jamais de dévorer un roman et c’était vite fait amis avec différents libraire qui lui donnait des soldes sur les livres. Ce fut quand son institutrice de CM2 leur donna à lire « L’étalon noir » que tout changea. Elle fut totalement passionné par ce livre si bien écrit qui démontrer les chevaux comme des dieux. Elle acheta bien vite la série en cachette, ainsi que d’autres traitant du même sujet pour voir si l’auteur n’avait exagérait sur le cheval. Mais, elle ne fut pas déçu. Bien vite, après avoir lu toute une armoire de roman sur le cheval, elle fut incollable.
Et se fut un soir où tout le monde dormait qu’elle commença la monte. Sans le savoir, elle réveilla son grand père et sa grand mère qui vinrent l’observer à l’ombre. Sans le savoir également, elle effectua plein de figures de dressage, impossible à imaginez à se niveau. Ses aïeuls eurent un coup de foudre incroyable, la jeune fille devait immédiatement se mettre au cheval, elle serait une championne en Dressage.
La jeune fille commença alors à apprendre l’équitation. Elle ne se consacrait pratiquement qu’à se loisir, et il était rare de la voir dans un autre endroit que dans les prés, les carrières ou dans un box. Maintenant, parlons disciplines :
Grâce à sa patience et sa persévérance, Hélène excellait surtout en dressage. Elle inventé des parcours et les orchestrée comme un véritable ballet, se plaisant à choisir des musiques sur lesquelles travailler. Elle aimait ses figures imposée lors des concours, d’ailleurs elle participait beaucoup à des concours dans cette discipline !
On peut dire que la discipline qu’elle contrôle le moins est le CSO. Étant très romantique, la jeune fille a regardé le film « Au temps m’emporte le vent », et deviné ce qui se passe : la fille des héros meurt quand elle pratique le CSO. On peut dire que la jeune fille a très peur lors du CSO, sur les grands obstacles. Une peur qui ne pourra se contrôler qu’une fois qu’elle aura un cheval bien à elle qui la mets en confiance.
Pour le CROSS, quand on aime pas le CSO, ce n’est pas fabuleux. Néanmoins, Hélène aime bien cette discipline quand il engage que des petits sauts. Étant au grand air, de temps en temps, la jeune fille oublie sa peur.
Pour les autres disciplines, on peut dire qu’elle sent sort. En tout cas, elle préfère le Hunter au CSO. Pourquoi ? Parce que la perspectives qu’il y a du dressage dans cette discipline la rassure à moitié.
Maintenant que vous savez tout cela, je peux vous informez que la jeune femme a fait un parcours incroyable en Dressage. Je ne parle pas de ce petit dressage dont on parle pendant les jeux olympiques. Non, Hélène est passé catégorie Maitre dans cette discipline. Je parle du dressage que l’on effectue au cadre noir. Celui qui est si compliqué et si beau à la fois. Alors qu’elle s’entraînait au dressage évidemment, elle a été remarquée par qui ??? Par le premier écuyer du cadre noir. Je pense que je ne dois pas vous racontez la suite ? Vous la savez déjà. Après plusieurs stages, entourée des plus grands, la grande timide a su, et sait toujours effectuée les grandes figures de grand dressage.
On peut dire qu’Hélène est très bonne en équitation, mais par contre qu’elle est plus qu’excellente en Dressage de Haute École.

II Préférence & Goûts

Livre Favoris:
Si ont peu dire qu'une, oui, une seule personne aime lire, même dévore tous les livres, c'est bien Hélène. Avant d'aimer l'équitation, elle passait ses journées dans sa chambre, la radio allumée, écoutant de la musique tout en lisant un livre. On peut dire qu'Hélène adore (même plus, elle les vénère) les livres.
Avant de répondre à la question, juste pour faire durer le plaisir de vous voir enrager derrière votre écran d'ordinateur parce que je tourne trop autour du pot, je peux vous affirmer, même vous assurer, que notre jeune cavalière n'hésitera pas à débarquer sur Freedom Creek en emportant une valise remplie de livre.
Vous vous demandez sans doute : <<C'st bon ? Elle va enfin répondre à la question : quel est son livre favoris ? >>
Eh bien, pour vous décevoir, non ! Comment osez poser une question pareille ? On ne peut jamais savoir quel est le meilleur livre ! Pourquoi ? Parce que personne n'a jamais lu tout les livres du monde ! Imaginez lire ce qui sont français et ceux qui ne le sont pas ! On y passerait sa vie, car chaque jour, de nouveaux livres sortent ! Il y a tant de chose à découvrir, en passant par les romans d'amours jusqu'au romans policiers, des romans d'aventure à ceux fantastique, des magazines au manuel de sport, et, bien sur, du dictionnaire au manuel scolaire.
Néamoins, je vais répondre à une autre question ! Non non, arrêtez, je ne dérive pas du tout, bien au contraire, car la question à laquelle je vais répondre c'est : <<Quel livre a-t-elle préféré PARMIS, je dis bien parmis, ceux qu'elle a lu ? >> Eh oui, c'est plutôt cette question qu'il fallait poser.
Donc, je vais répondre à ce petit problème :
Aprés avoir lu beaucoup de romans de types variés, Hélène, jeune fille romantique, a voué un véritable culte (xD) au roman d'amour. Vous savez, ces romans qui racontent les péripéthies des personnages amoureux qui veulent se retrouver ! certains sont si bien écrit comme "Le titanic" qu'elle pleure du début à la fin ! Et oui, notre Hélèbe déborde de sentiment. Mais le roman qu'elle préfère par dessus tout est "Le mouulin au loup" de Marie-Bernadette Dupuy qu'elle s'est fait dédicacée. Elle l'a loué à la bibliothèque de son quartier tant de fois, que la libraire, fatiguée de voir toujours ce livre entre ses mains, a fini par lui donner.
Dans son classement, de suite après les romans d'amour viennent les livres annimaliers. Je ne parle pas de documentaire, je parle des livres où les héros sont des animaux. C'est même en les lisant qu'elle a découvert que les chevaux n'étaient pas des monstres comme les décrivait ses grands parents, un peu trop maternels, pour la protéger. Elle a casiment dévoré la série de "l'Etalon noir", cette de "En selle" et également "Heartland". Hélène aurait adoré être Alex Ramsay, héros de "l'étalon noir", qui a réussi à domptait un vrai cheval sauvage. Ou encore être Jessica, héroïne de "En selle", est être forte en CSO. Ou être également Laura, directrice de Heartland dans ce livre, et posséder le don de sauver les chevaux. Oui, Hélène les envie ces héros virtuel que seul la plume fait vivre.
Mais, il ne faut pas non plus oublier les magazines sur les chevaux. Quant elle a découvert sa passion pour l'équitation, la jeune fille a voulu << Rattraper le temps perdu >> et elle s'est donc abbonnée à tout les magazines trétant ce sujet. Elle a donc lu en un rien de temps "Le fer à cheval", "Equi Passion", "Horse Magazine" et tant d'autres encore ! Elle a pu, vite fait, apprendre tout ce qu'il fallait savoir.
Maintenant, passons au dictionnaire ! Elle n'en a pas ! Pourquoi ? Parce qu'étant jeune, elle s'est fait le pari de l'apprendre par coeur, et, devinez quoi, ça à marché ! Elle peut donc vous réssitez n'importe quelles dévinitions !
Je ne vous ai cité que quatre ty pes de livre ! Nous allons donc continuez avec les deux derniers :
Hélène n'aime pas trop les romans policiers. Elle a lu lu les Agasta christi, mais ne comprends pas pourquoi dans les livres de ce types, les meurtres sont obligatoire. * IL y aurait pu avoir un simple vol ! * pense-t-elle.
Pour finir, je vais évaluer, du point de vue Hélène, les livres fantastiques. On peut dire que la jeune fille les aime bien. elle n'a pas pu s'arrêter en lisant les "Harry Potter" ; "La croisée des mondes" ; "Eragon" et tout les autres livres du même types.
Donc, vous voyez à présent à quelle point Hélène adore les livres. En faitn elle n'en trouve pas un meilleur qu'un autre. (Ce qui veut dire que vous avez lu tout cela pour rien ^^)

Style musical écouté:
Hélène n'est pas une de ces filles, un peu chochotes, qui laissent la musique guidée leur vie. Elle n'iras pas à un concert du dernier chanteur ou de la dernière chanteuse à la mode, juste pour ce faire bien voir ! non, si vous pensez qu'elle est comme cela, eh bien, vous vous trompez de personne ! Mais, venons en à la question. pour mieux répondre, je vais vous décrire tout ce que pense Hélène des différents types de chanson :
- La musique Rock Hard, très peu pour Hélène. Elle déteste ces punks qui sautent, qui crient et qui crachent partout ! Lorsqu'elle les entends à sa radio qu'elle laisse constament allumée, elle change directement de piste.
- La musique Rock douce, cela peut aller dans les gouts d'Hélène. dans ce type de musique, la jeune cavalière apprécie beaucoup Greenday avec la chanson "Boulevard a Broken Dreams" !
- Parlons maintenant du R&B ! Notre cavalière n'aime pas trop cette musique, cela bouge trop pour Hélène. Néanmoins, elle aime bien écouter James Blunt et Peter Cincotti.
- Vient le rap qu'elle DÉTESTE ! Elle trouve ça vraiment déranger et insignifiant.
Maintenant, parlons de son style de musique : la chanson populaire. Vous ne savez pas ce que c'est ? Je vais vous l'apprendre :
La musique populaire est capable de s'inspirer de divers courants de musique savante ou de musique traditionnelle, ou encore, de profiter des plus récentes découvertes en matière de technologie d'enregistrement ou de traitement du son (la musique électronique, par exemple). Plus ou moins dérivée du jazz et des rythmes afro-américains, elle peut également se nourrir de nombreuses traditions musicales non occidentales. Cette facilité n'est pas la moindre de ses caractéristiques : pour elle, en effet, les traditions représentent plus des opportunités stimulant l'inspiration des musiciens en leur permettant de nouvelles réalisations, que des contraintes ou des usages à respecter.
Eh oui ! C'est ce style de musique que notre Hélène aime. Après avoir des heures et des heures lu ou écrit la radio allumé, elle les connaît presque toute. Ne vous moquez pas ! C'est son gout, un point c'est tout ! Et oui, Hélène aime bien tout ce qui tourne autour de Claude François, James Blunt....

Chanson préférée:
Maintenant que vous savez que le style de musique préféré de Mlle de Bellecour est la musique populaire, je vais vous dire quelle est sa chanson préférée.
En fait, il est trés difficile d'en citez une en particulier, je ne pourrais donc que vous affirmez que les chansons qui seront citées plus bas ont une place dans le coeur d'Hélène et lui font plaisir lorsqu'elle les écoute.
Tout d'abord, il y a "Comme d'habitude" de Claude François, ainsi que toute les autres chansons chantées par lui. Hélène raffole aussi du Charles Asnavour, quelques soit la chanson, elle est fan de ce chanteur.
Mais la chanson qu'elle préfère et de loin "Rien qu'une larme dans tes yeux" de Mike Brant. Oui, ce chanteur si connu, qui est en 1969 qu’il arrive à Paris, et se produit grâce à Carlos au club Bistingo. Carlos lui fait également rencontrer Jean Renard, l’un des compositeurs de Johnny Hallyday qui lui écrit Laisse moi t’aimer. Il passera 2 mois à travailler la chanson dans les studios, en réécrivant phonétiquement les paroles en hébreu. Grâce à son travail acharné, la chanson devient rapidement un énorme succès et il est invité dans les émissions de télévision qui le font connaître. Il vendra plus d’un million de disques de son premier hit.
Hélène aurait tant aimé qu'il vive. Car épuisé par sa vie trépidante et très affecté psychologiquement par le cambriolage de son appartement, il fait une première tentative de suicide le vendredi 22 novembre 1974, en se jetant du 5e étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Par chance, il est bloqué aux rambardes du 3e étage : il en est quitte pour un nouveau traumatisme crânien et deux fractures des jambes. Une version rapporte qu'il aurait voulu faire une farce à un ami résidant à l'étage en dessous en se suspendant à la balustrade du balcon de sa chambre. C'est là qu'il aurait fait une chute.
Mais, le vendredi 25 avril 1975, à 11 h du matin, Mike Brant fait une nouvelle tentative de suicide en se jetant du 6e étage d'un immeuble situé au 6 de la rue Erlanger à Paris. La chute lui est fatale : Mike Brant avait 28 ans.
Et oui, Hélène ne l'a jamais connu, mais elle aurait vraiment aimé le rencontrer un jour et aller à un de ses concerts.


Film préféré:
Étant une fille très romantique et ayant un vrai cœur d’artichaut, je suis sure que cela ne vous étonneras pas si je vous dit qu’Hélène adore beaucoup Angélique. Elle pleure souvent en le regardant, se réjouissant pour la jeune fille quand elle retrouve son Joffrey. Pour vous en apprendre plus, voici l’histoire :



A quinze ans, Angélique Sancé de Monteloup est la fille d'un petit noble de province, ruiné et désargenté. Sous la tutelle de son oncle, le respectable Marquis de Plessis-Bellières, elle assiste bien malgré elle à la fomentation d'un complot visant à assassiner le Roi et son frère, préparé assidûment par des anciens Frondeurs, le Prince de Condé et Fouquet en tête... Elle subtilise discrètement le coffret renfermant le dangereux vitriol sauvant ainsi le Roi d'une mort certaine et douloureuse. Se vantant de son exploit autour d'elle, Condé comprend quel fut son rôle dans la disparition du poison et il suggère à son père de la faire placer dans un couvent pendant cinq ans afin de parfaire son éducation. Les désirs du Prince étant des ordres, Angélique se retrouve enfermée au couvent. Elle en sort plus tôt que prévu, au bout de trois ans à peine et ne tarde pas à découvrir l'horrible affaire conclue à son insu : son père, complètement ruiné l'a promise en mariage au plus beau parti de tout le Languedoc : Joffrey Comte de Peyrac qui l'a aidé à remettre sur pied son ancienne mine de plomb. Une fois le mariage par procuration conclu à Sancé, Angélique part pour le domaine de son époux. C'est le jour même de son mariage religieux qu'elle rencontre enfin son mari, réputé pour être l'homme le plus riche mais aussi le plus affreux de toute la région. Le Comte de Peyrac a en effet gardé quelques séquelles de sa vie mouvementée et de ses voyages par delà le monde : une immonde balafre sur la joue gauche et la jambe droite brisée... Angélique est horrifiée et abhorre par avance, sans même le connaître, cet époux qu'on lui a imposé... Mais Joffrey, bien que mutilé et défiguré, est un gentilhomme au grand cœur, instruit et cultivé, tendre et attentionné, fougueux et intrépide : en somme il dispose de toutes les qualités morales et intellectuelles pour plaire aux femmes. Angélique finira par découvrir quel homme se cache véritablement derrière cette apparence hideuse et deviendra follement amoureuse de cet époux qu'elle apprendra à comprendre et à aimer tel qu'il est.
Trois ans passent, heureux et insouciants, égayés par la venue d'une enfant, un petit Florimond. Le Roi vient tout juste d'épouser Marie-Thérèse, Infante d'Espagne et sur le chemin du retour, se dispose à passer une nuit sur les terres du Comte de Peyrac. Joffrey, très honoré met tout en œuvre pour combler le souverain. Malheureusement, l'étalage de luxe et de richesses dont fait preuve Peyrac, indispose fortement Louis XIV qui ne tarde pas à comprendre que le Comte est plus riche et presque plus puissant que lui. En effet, Peyrac au cours de ses nombreux voyages a appris comment fabriquer de l'or, se constituant par là une fortune colossale. La vue d'Angélique, met un point final à la jalousie excessive qui grandit au fond du Roi : comment une femme aussi belle et délicieuse peut-elle sincèrement aimer un homme aussi hideux et disgracieux, que l'est le Comte de Peyrac ? Furieux, Louis XIV part à l'aube le jour suivant, sans même faire ses adieux à ses hôtes. Joffrey, révolté de ce comportement qu'il estime indigne du Roi et soucieux de savoir le pourquoi de ce départ précipité, se lance à la suite du souverain malgré les efforts désespérés d'Angélique pour le retenir. Joffrey est arrêté, accusé de sorcellerie et conduit en procès par l'Inquisition. Bien que défendu vaillamment et intelligemment par Desgrez, un jeune avocat à l'esprit vif et pointu, Joffrey ne peut que perdre ce procès jugé d'avance par le Roi : il est condamné au bûcher. Angélique entre temps met au monde un deuxième garçon, qu'elle baptise Cantore. Elle fait appel au Roi, tente de lui prouver que Joffrey n'est pas plus sorcier que lui et que la façon dont il obtient son or relève de la science et non pas du surnaturel, mais traquée par Condé et ses hommes qui l'ont reconnue et qui ont peur qu'elle ne parle du fameux complot qu'elle avait déjoué six ans plus tôt, elle ne peut rien faire. Désespérée elle accepte de demander l'aide des repris de justice de la Cour des Miracles. C'est là qu'elle retrouve son ami d'enfance, Nicolas Merlot, autrefois valet chez son père et qui a toujours été follement épris d'elle. Au nom de cet amour, il accepte de l'aider à sauver Joffrey : ses hommes et lui attaquent la charrette du condamné au moment où celle-ci s'apprête à arriver en place de Grève où Joffrey doit être brûlé. Hélas, tout a été habilement mis en scène et la charrette ne contenait qu'un vulgaire mannequin de paille. Angélique et Nicolas (devenu Calembredaine) arrivent trop tard et ne peuvent qu'assister impuissants à l'exécution de Joffrey. Traqués par la police, ils arrivent à s'enfuir et revenus à la Cour des Miracles tous sains et saufs, Calembredaine offre asile à Angélique en lui proposant de rester parmi d'eux et d'être leur Marquise des Anges...

Snif Snif ! Hélène pleure.
<< J'adore cette histoire d'amour !>>


Ville & Pays préférés:
Comptant parmi les premières destinations touristiques de France, le Val de Loire mérite amplement se renommée mondiale, du fait de la beauté des ses paysages et de son extraordinaire richesse en matières de châteaux.
Là bas, Hélène a visité les châteaux de la Loire. Et oui ses châteaux de la Loire qui sont des édifices pour la plupart bâtis ou fortement remaniés à la renaissance française, à un moment où le pouvoir royal était situé sur les rives du fleuve, de ses affluents où à proximité de ceux-ci (XVe et XVIe siècles). La plupart des châteaux puisent néanmoins leurs origines dans le Moyen Âge dont ils conservent des traits architecturaux importants. Habituellement 42 châteaux peuvent être appelés Châteaux de la Loire. Oui, ses si beaux châteaux qui relate tant d’histoire ont une place dans le cœur d’Hélène.

Pour la ville, n’ayant pas quitté la France, notre jeune fille n’en connaît que peu d’entre eux grâce au livre. Je ne peux donc vous donnez un pays bien précis

Animal préféré:

« Mon royaume pour un cheval ! »

Même si cette phrase fut prononcée par Richard III d’Angleterre que dans un réflexe de survie, cette phrase fut rentrée dans la légende, et quelle légende ! Existe-il un autre animal qui a tant inspiré les poètes, ayant tant participer dans l’histoire, ayant tant aider l’homme à devenir un Homme ? Voilà ce que pense Hélène Bellecour. Voici ce qu’elle dit, pour plaider la cause des chevaux :

« Imaginez une chasse à cour sans chevaux ! Cela aurait été impossible ! Imaginez une charrue tirée par des bœufs, non par des chevaux. Imaginez les carrosses qui n’aurait jamais été tirée par des chevaux, comment la légende Napoléonienne sans le général Lasalle ou le Prince Murat. Imaginez l’Histoire, sans les chevaux. Ou, plutôt, ne le faites pas ! »

Hélène rit et continue :

« Imaginez plutôt un de ces moments où les hommes deviennent des dieux en montant ses splendides bêtes que l’on appelle les chevaux ! Ressentez le plaisir d’être à cheval à l’aube, lorsque le soleil monte petit à petit, au pas de la rosée… ou un soir, quand le soleil se couche, au crépuscule ; quand vous êtes couchée sur la selle de votre cheval, admirant les étoiles… ou plus simplement, une journée d’automne, en foret, participant à une chasse à cour, à l’écoute des chiens, derrière eux, élançait au grand galop, poursuivant un majestueux cerf. Alors là, vous comprendrez, que la plus belle bêtes est le cheval. Rien n’est plus beau qu’un cheval au galop ! »

Seuls les poètes, les femmes et les hommes au cœur de prince sont dignes de monter un cheval, même un cheval qui n’est pas d’une noble races.


Plat préféré:
Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm !
On en vient à la gastronomie. Hélène n'est pas une de ses filles qui gaspillent leur argent en allant à McDo ou en s'achetant n'importe quelle confiserie. comme vous l'avez sans doute compris, Hélène est une jeune fille, contrairement au reste de sa famille, sage comme une image.
Manger est une chose qu'elle fait uniquement par besoin vital. Elle ne mange pas à toute les heures de la journée, loin de là.
Néanmoins, lorsqu'elle a faim, elle a faim. dans ses moments là, elle ne pourra manger un seul sandwich. elle pourra ingurciter quatres assiette.
Cotés goût, Hélène aime de tout, mais je peux vous affirmer sans aucun doute, qu'elle préfère de loin les plats raffinés, vous savez les plats de grands cuisiniers bien épicier. Mais aussi, les pâtes ! De toute les formes, de toute les couleurs, avec sauce ou sans.
Les pâtes ! de toute les manières possibles
La ratouille a également une place dans son coeur.


Saison favorite:

Ce matin, je me suis réveillée
Au dehors, le printemps naissait
Un rai de soleil entrait
Alors je me suis levée

Sur le bel abricotier
Qu'à l'automne, j'avais planté
De belles fleurs poussaient
Devançant un fruit bien sucré.

Le printemps, il faut le fêter
Dans nos coeurs, il met d'la gaîeté
Et oui, c'est bientôt l'été.

Vous l'avez sans doute compris en lisant le poème de sa composition, Hélène adore le printemps, quand les fleurs poussent .... Mais je vous laisse imaginez ^^.


Couleur préférée:
Hélène aime toutes les couleurs. Le rose fushia, le rose pâle, le violet, le vert, le bleu … Tant que c’est multicolore, elle prend ! Mais oui, c’est bien plus gaie, que de s’habiller en noir ou en blanc. Néanmoins, elle a une petite préférence pour le bleu.


Passion* : Votre personnage a surement une passion. Cachée, peut être ^^ Dites nous ce dont il raffole, où dans une activité où il s'investie a fond. Ce champs est facultatif.